Chapitre 6 : Un espoir de fuire

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La caserne était en un étage, le ré-de chaussé, c'était là où l'on entreposait les armes, vivre et c'était aussi là où il y avait la salle à manger et la salle d'entraînement. Le premier étage, là où les soldats dormaient. Tout les soldats qui étaient présent se retournèrent vers moi, que faire ?

De une, je ne fis pas comme si je ne suis pas surpris : trop tard

De deux, je cachai mon arc et ma dague : trop tard

De trois, je rangeai mon pain que j'avais dans la bouche, dans mon sac pour pas faire comme si j'étais pressée : trop tard

De quatre, je vérifiai que j'ai ma capuche : c'est bon

De cinq, il fallait que j'invente tout de suite un gros mensonge pour m'en tirer sans encombre : encore un espoir

-Excusez-moi, die-je comme une petite fille de six ans, je suis nouvelle dans cette ville et je voudrais savoir où est l'armurerie, s'il vous plaît ?

-C'est une caserne ici pas une auberge ! Sors d'ici et débouilles toi en demandant à un paysans !

Quelle vielle peau, pensai-je. C'était une mémé qui m'avait répondu, à ce moment j'aurais bien voulu lui mettre un point dans la tronche à celle-là ! Mais je ne pouvais pas car si en plus des brigands, j'aurais eu les soldats sur le dos, ça aurait été la kata. Bon, je répondis respectueusement :

-Merci du conseille et bonne journée.

Ah sauvée! Et ben pas encore, un soldat attrapa mon poignet et me retins. Il était grand (plus grand que moi en tout cas) avec des cheveux longs et noir, il avait une cicatrice qui ressemblait à une lune sur sa face droite. Il enleva ma capuche, sans que je ne puisse réagir et dit :

« Mme, il ne fraudais pas laisser s'échapper l'un des plus dangereux criminel alors qu'elle vient à nous, n'es-tu pas d'accord, démon aux yeux rouges alias Sara Marpol!

La vielle peau cria :

-Alerte, le démon est ici !-Appelez tout les soldats, et dites leur de venir à la caserne !

Quatre soldats sortirent de la caserne. Je commençais à croire que quelqu'un m'avais jetée une malédiction. Je devais m'en allais avant que toutes les unités débarque ici :

-Lâche-moi ou tu vas découvrir l'horreur de mourir de ma main ! Dit-je sur un ton pour impressionner

-N'y compte pas !

L'homme ne voulais pas me lâcher alors que je tirer comme une dingue. J'étais mal, il aurait fallu un vrai miracle pour me sortir de-là. Une idée illumina ma matière grise : ces satanés brigands me cherchaient encore, il pouvaient peut-être me servir. Je me délivrai de l' emprise du soldat, sortis ma dague et hurla :

-Hou hou ! Les brigands, je suis là !

-Mais, qu'est-ce que tu fabrique ? dit la grande perche

Je ne lui répondis pas, je continua à hurler de plus belle. Aucune réponse des brigands me vins à mes oreilles. J'étais crispé et lâchai un souri de désespoir à grande perche. Je pensais : Si ils ne rappliquent pas tous de suite, je me ferais coincer dès le premiers jour dans cette ville, j'imaginais ma vie plus longue.

Un bruit de vitre cassé vint de me redonner le goût de vivre ! Ils étaient enfin là. Leur chef cria :

-Tu es où, sale traînée !

Malgré son insulte, j'étais tellement contente de le voire que mes yeux briller et un sourire se dessina sur mon visage.

Je profitai que tout le monde étaient perplexes pour essayer de m'échapper mais celui devant moi m'empêchai de passer la porte. Les soldats étaient tous en train de se battre contre leurs ennemis. Cheveux long me dit :

-Tu crois être sortie d'affaire, je ne te laisserai pas t'échapper !

-Détrompe-toi, j'en est bien l'intention !

J'essayai de lui planter ma dague, rater, il esquiva comme de rien. Je reculai, encore un ennemis très fort, j'allais faire une diversion. Je lui lançai deux flèche l'une derrière l'autre, il esquiva la première mais ne vit pas arriver celle-d'après. Il se la pris de plein fouet dans l'épaule, il se plia en deux et je sortis de la caserne en le plantant là. Je lui dis par dessus mon épaule en lui tirant la langue

« Salut, grande perche ! »

Je le vis qu'il avait serrer les dents.

Ça ne servait à rien que je le finisse de toute façon. Je cours de toutes mes forces vers le marché qu'Arthur m'avait parlé pour vendre ses choux moisis. Les soldats étaient au courant que j'étais dans cette ville, ils allaient en informer leur roi et toute la ville sera en alerte rouge.

Il fallait que je quitte cette ville rapidement mais le soleil commençait à se coucher, les portes allaient se refermer. Je m'en irais demain matin à l'aube pesais-je, avec un peu de chance il ne seront pas encore prévenu. J'arrivais au marché, je vis Arthur, il rangeait ses choux. Je criai :

-Arthur, j'ai besoin d'aide !

-Mais pourquoi n'as-tu pas mis ta capuche ?

-Se n'ai rien, personne ne m'a vu. Il s'est passé beaucoup de choses cette journée, je t'en parlerai demain, si j'ai le temps.

Je savais très bien que je le mettais en danger en restant avec lui mais c'était la seule personne que je connaissais vraiment dans cette ville. Si j'avais su se qui aller se passer, je ne lui aurais jamais parler. Je lui demandai

-Je pourrai me reposer dans ta calèche ?

-Oui, bien sûr.

Je le remerciai et m'installai dans la calèche et m'endormis.




C'est la fin de ce chapitre ! Je vous remercie de mettre des commentaire.

Si vous êtes un fana de pirates des caraïbes 1 comme moi, cherchez les réplique de ce film que j'ai mis dans ce chapitre.


Le Démon aux yeux rouges [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant