Chapitre 9 : Mission sauvetage

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Je traversai les ruelles et mis ma capuche. Les soldats courraient vers ma direction, je tirai sur ma capuche et fit comme-ci de rien était. Les soldats étaient trop occuper à courir pour me remarquer. Ils étaient derrière moi et je cru que je n'avait plus rien a perdre mais le soldats se retourna et dit

-Hé, toi ! Attends -voir, tu ne serai pas...

Avant qu'il termine sa phrase, je me mis à courir. J'avais cru entendre la voie du soldats aux cheveux long. Il se mis à me courser avec toute sa troupe derrière lui.

Je me cachai dans une ruelle et m'assis. Ils passèrent dans la rue sans me voir, je restai là à attendre de n'entendre plus aucun pas. Je ressortis de là et marchai dans la rue et me rendit sur la grande place, les gens étaient bien nombreux même à cette heure. Je couru voir Arthur pour lui raconter se qu'il c'était passer. Mais je ne trouvai personne et on aurait dit que des gens c'étaient battus.

Prise de peur, je chercher dans la charrette en jetant les bac de choux au sol. Je ressortis en regardant à l'affut et en appelant Arthur. Je vis une affiche sur le mur et l'arracha, je la lis. « Pour le Démon aux yeux rouges : Votre complices a été attraper et mené en prison. Il sera exécuter demain, à l'aube. »

C'était naturellement un piège, mais un piège dont je ne pouvais mis résoudre. Je devais le sauver, j'avais une dette envers lui. Toute l'après-midi je me préparai à un plan pour le sortir de prison, c'était plus prudent de le sortir la nuit. Même si je savais que plein de soldats se trouverai la-bas, j'y suis aller.

La prison était un peu à l'écart du palais. De grande tours encerclé le bâtiment, les prisons étaient au sous-sol. Au rez-de-chaussé, il y avait des soldats qui était en charge de gardé les prisonniers. Mais en fait, ces soldats s'amusait à torturer les criminels, pour seul motif qu'ils s'ennuyer.

J'étais derrière un buisson à coté de la porte. Elle s'ouvrit et un soldat sortis. La tentation était trop forte, je me mis discrètement derrière lui et l'assomma avec une pierre. Je pris son uniforme et le mis au-dessus de mes vêtements.

Heureusement qu'il était de la même taille que moi et qu'il était un peu plus gros, je m'attachai les cheveux et mis sur mes yeux, les petits ronds visqueux magiques que Serina m'avait donner avant que je parte. Elle me les avait donné en me disant que ça changerait la couleur de mes yeux, j'en avait plein stocke. Je cachai le corps dans les buissons et entra. Un soldat complètement pompette, assis sur une table en jouant aux carte avec un autre soldat, me dit 

- Alors petit, t'a de l'alcool ?

Je fis comme de rien et lui dit

- Désolé, il n'y en avait déjà plus.

Il se leva avec difficulté et me pris par le colle

- Joue pas au con avec moi ! Il n'y en avait plus, hein !

Je jouai le jeu et fit le bleu de service

- Je vous le jure monsieur !

Il pointa son poing sur moi près à frappait. L'autre soldat se leva de sa chaise et le prit par le bras en le tirant vers lui , il lui parla. Je n'entendit pas se qu'ils disaient mais j'étais au moins sur qu'il ne me frapperait pas puisqu'il me dit

- C'est bon pour cette fois, hic, va voir les prisonniers en bas, dans le deuxième et ramène s'en un qu'on s'amuse un peu. Hahaha ! Tiens, prend le trousseau de clé. 

Quel taret, pensais-je.

Je lui fit un hochement de tête, pris le trousseau, une torche et partie en bas par les escaliers. Ça puait tellement que j'avais envie de vomir. Je mit ma main devant pas bouche en continuant d'avancer. Plus je m'enfoncer, plus il faisait noir et poussiéreux. Soudain j'entendis un cris de douleurs, je sursautai en faisant tomber ma torche. Elle s'éteignit en laissant des braises à peine visible sur le sol . Je ne vit plus rien, le noir complet.

Super, pensai-je. Je suis mal barré.

Je tâtais le sol lentement en essayant de descendre sans me casser la figure. Pendant que je tâtais le sol, je pensais à ce qu'avait dit le soldat ivre. Le deuxième..., il voulais surement parler du deuxième étages.

Je m'étais renseigner quand même,  je savais , qu'il y avait deux étages. Le premier , était le plus sur, il y avait que des petits petit criminel, voleur, brigand, rien de très méchant. Mais le deuxième, c'était les criminel les plus dangereux, condamnée tous à mort. Et aussi, qu' il existait que deux sorties dans cette prison. Une où je suis entré, la porte principale et la deuxième , une trappe d'égout secrète qui se trouvait je ne sais où, qu'avait fabriqué ceux qui avaient construit la prison.

Je revins de mes pensés. Heureusement que je n'était pas loin du sous-sol. Je vis les lueurs des torches qui ornaient les murs. Ça faisait au moins 5 minutes que j'étais en train de descendre, j'étais arrivé au sous-sol, enfin ! Un long couloir sans fin, c'etait se que j'ai vu en premier en arrivant à la seul porte de sortie de la prison.

Le même cris de tout à l'heure résonna.  Je l'entendis plus intensément cette fois ci. Il était loin de moi, plus enfoncer dans le sol, le cris venait du deuxième étage. Ca me glaça le sang. Je pris une torche au mur et marcha lentement dans le couloir. Je regardait attentivement les visages des prisonniers. Il étaient sals, maigres et fatigué. Quelque uns étaient endormis mais d'autre rester éveiller la peur qu'on le prenne pour le torturer. Ca me faisait mal de les voir comme ça. Quelque fois certain m'injurier.

Je continuai à marcher quand je vis un soldat venir dans ma direction. Je baissai la tête et continua à marcher normalement. Je vis qu'il n'avait pas le même uniforme que les gardiens de prison. Pourquoi un soldat autre qu'un gardien se baladerait dans la prison à cette heure de la nuit, c'était étrange. Il passa à côté de moi sans dire mot. Pour jouer mon rôle à fond, je lui dit "Bonsoir, Monsieur." Curieusement il fut surpris et ne me répondit pas.

J'haussai les épaule et continuai de marcher. J'arrivais à la fin du couloir et je n'avais pas encore vus Arthur. Plus qu'une solution, il fallait que je descende  au deuxième étage. 


C'est la fin de ce chapitre ! Que va-t-il arrivait à Sara au deuxième étage ? Que va-t-elle découvrir ?  Vous le serez dans le prochain chapitre.       

            


Le Démon aux yeux rouges [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant