Je me demandais se qu'il racontait mais je ne me sentis pas capable de lui crier dessus. Je pensai à se qu'il m'avait dit. Une ville du bonheur, ça n'existe que dans les contes de fée. Après quelques instants, je me rendit compte quelque chose et cela me dérangais : pourquoi était-il si calme devant moi ?
-Tu n'as pas peur de moi, pourtant tu as vu mes yeux ? Tu sais qui je suis, n'est-ce pas ? demandai-je assez intriguée
-Oui, tout le monde vous connais ici, mais vous ne m'avez pas l'aire d'être quelqu'un de mauvais, dans le fond.
-Tu ne sais pas comment je suis, je peux être très méchante et cruelle. Je serai toi, je me méfierais.
-Si vous êtes si cruelle, pourquoi m'avoir sauvé ?
Là il marquait un point. Et lui était-il gentil ou allait-t-il me vendre au roi de la ville prochaine ?
-D'accord, alors si tu me fais confiance, je te fais également confiance pour ne pas parler, à qui que ce soit, que je suis ici.
-Je vous le promet, de toute façon, si je vous vends, vous me tuerez, n'est-ce pas ?
-Exactement. lui dis-je avec un sourire
-Je m'appelle Arthur et vous, à part "démon" ? dit-il solennellement
-Moi, c'est Sara, ravi de te connaître.
-Moi de même.
On se serra la main en guise de rencontre. Je le trouvais sympa, un peu nunuche mais très beau et très aimable. Je continuais ma route pour cette vie qui m'attendait avec mon nouveau « camarade » Arthur.
On avait parlé pendant tout le trajet. Après cette aventure dans cette charrette délabrée, nous arrivions enfin dans cette fameuse ville du « bonheur »... tu parles ! Dès que l'on était arrivés, on as eu droit à un contrôle d'identité et de marchandise. J'en voyais de toute les couleurs depuis mon dépars, pensai-je. J'étais mal barrée.Je réfléchissais silencieusement à la meilleure possibilité qui se présentait alors à moi.
Première solution qui me vins à l'esprit: je me cache dans la charrette derrière les cages de choux qui pu et j'attends que les soldats jettent un coup d'œil, avec un peu de chance, il ne me verront pas.
Deuxième solution: Je sors de la charrette et les tue rapidement, s'ils sont nuls, ça devrai être facile mais j'oublie qu'il y a Arthur, les soldats vont peut-être le prendre en otage et je n'ai pas envie d'avoir une personne innocente, je dis bien « innocente », sur la conscience.
Je n'avais plus le temps de réfléchir, je pris la première solution. Près de la méga porte super renforcée, les soldats s'approchèrent.
-Bonjours Mr, désolé mais nous devons contrôlé votre charrette. déclarèrent ceux-ci
-Pourquoi contrôlez-vous les calèches, soldats? dit Arthur intrigué
- Notre royaume a reçu un avis de recherche pour la capture du démon aux yeux rouges.
-Encore elle ! dit Arthur avec une aisance de la comédie que je n'aurais jamais deviner.
-Et oui.
Pendant leur discussion très très intéressante ( blague ), l'autre ( soldat ) ouvra le derrière de la calèche, j'avais eu assez de temps pour me cacher discret-os derrière les choux. Il regarda rapidement mais ne vis rien, je crue qu'il était aveugle en faite.
Bon c'était déjà ça de fait, on a pu enfin entrer.
« Aller, vous pouvez y aller, bonne journée »
A l'intérieur des murailles de cette ville, on pouvais dire que c'était le bonheur !
Il y avait beaucoup de monde, de touristes et de commerçants. J'étais sûr qu'il y avait quelque chose qui clochait. Je me disait que je le découvrirai bien assez tôt.
Arthur avança dans les ruelles, il s'arrêta pour me déposer. Je pris ma cape, mes armes et le remercia en lui disant au revoir.
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Le Démon aux yeux rouges [PAUSE]
FantasiaC'est la première histoire que je poste alors laisser des commentaires constructifs pour que je m'améliore. Cette histoire raconte la vie au Moyen-Age d'une voleuse assez spéciale.