Chapitre 8 : Origine étrange

20 5 0
                                    


Je suivi la dame dans des ruelles macabres, le sol était plein de déchets et était plein de poussière. Les ruelles étaient sombres et avaient une odeurs nauséabonde. Je me suis arrêtée pour regarder attentivement le quartier où débouchait les ruelles.Hum, ce n'était pas un quartier très fréquentable : les boutiques indiquaient des écriteaux assez étranges comme :magie noir, arme tranchante et taverne du magicien.

Rien qui ferait envie d'y entrer, presque tous étaient aussi bizarre avec des fenêtres cassés.Je fis une mauvaise mine à cause de l'odeur horrible que je sentais. Je pensais que ce n'était pas possible d'avoir une si belle ville avec des maison très riche sur la colline et qu'au alentours de celle-ci, il y avait des quartier aussi délabrés sans aucun roi pour s'en soucier. On aurait dit ma ville natale, un vrai désastre. La dame m'alerta en coupant mes pensés et me dit

-Hé ! Ma petite !

Elle était déjà au moins à 6 mètres devant moi.

-Ne traîne pas ici, ce quartier n'est pas fréquentable.

-J'arrive ! Dis-je avec fatigue.

Nous continuons à marcher et nous nous arrêtions devant une petite maison très normale.

Elle me dit en se tournant vers moi

-C'est ici, chez moi.

Je rentrai après elle en scrutant le moindre recoins du coin de l'œil droit. Une chose me dérangea : quand je suis rentrée, il y avait une sorte de voile qui recouvrait la porte. Pourtant, quand je me retournai, ce « voile » était invisible mais étrangement je le ressentais. La dame alla vers la cuisine que l'on voyais depuis la salle à manger. Elle me dit

-Assied-toi, ici.

-Hum

Je m'assis sur une chaise devant une table ronde et petite devant sa cuisine. Sa table était en bois, on voyait qu'elle avait bien vécue. Avec des fissures qui entailler cette table. Elle s'assit devant moi en me tendant un verre d'eau. Je lui dis en frottant mon pantalon qui était devenu sale à force de courir partout.

-Merci

-Bon, allons-y, ce que je vais te dire est la stricte vérité.

Je ne dis rien et je la laissai continuais.

-Cet histoire et longue, je te préviens.

-J'ai tout mon temps.

J'avais tout mon temps, bien-sûr, à pars les troupes soldats qui étaient à mes trousses. Ils avaient aussi renforcer les murailles, le château, alors j'avais tout mon temps.

Elle commença son réçit

-Autrefois, la magie existait dans ce monde...

Je me tus et la regardai d'un air perplexe.

-Il y avait deux peuples humanoïdes : les Armizes qui étaient les seule à pratiquer la magie et les Hommes qui ne pouvaient la contrôler. Les Armizes étaient très fier de leur pouvoir et de leur beauté. Ils étaient tellement élégant et fort, femmes comme hommes. Les Hommes étaient jaloux d'eux. Alors que ces deux peuples coexistaient malgré les petits problèmes, le roi Ilius, le plus cupide de tous invita le roi des terres Armizes et le poignarda car il rejeter le fait de coexister avec ses « créatures » comme il le disait.

 Contrairement aux Hommes, les Armizes avaient qu'un seul et unique roi. Son successeur alla sur le trône et animait par une vengeance, il engendra une guerre contre le territoire des Hommes. Alors que la guerre faisait rage, une magicienne très forte qui était nommé, à l'époque "Commandante en chef des troupes de l'armée du roi Armize" s'enticha d'un guerrier humain. Ils désertèrent le combat et s'installèrent en terres Hommes.

Le Démon aux yeux rouges [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant