Le Démon aux yeux rouges [PAUSE]

Chapitre 7: Prisonnière de Lassire, rencontre avec une drôle de dame

Je me réveillai discrètement, pris mes armes et laissa Arthur seule, sans rien lui expliquer de la veille.Il fallait que je le quitte. Je m'avança dans la ruelle, personne était encore réveillé mais les soldats étaient réveillée depuis une bonne heure, je ne savais même pas si ils avaient fermés l'œil de la nuit. Je les ai entendu crier : « Venez par là, j'ai entendu quelque chose ! »

Vite, il fallait que je me casse de cette ville, j'allais partir aux murailles et marchandais mon billet de sortie. Je n'avait pas pensé du tout qu'ils auraient réussi en même pas une nuit de renforcer les murailles : en arme, en soldat, en canon... J'étais coincée, devant la muraille je pensais à des chose que je ne pourrais plus faire. C'était terminé pour moi et le plus ironique c'était que je n'aurais même pas pu tuer cette pourriture de roi Marcus. Je me disais, désolé ma petite Mira, je ne t'es pas vengé...

« Tu me déçois, tu abandonne déjà ! »

Ces paroles dans ma tête résonnaient comme si on me poignarder en plein cœur, je me faisait honte, le démon aux yeux rouges n'était qu'une personne normale, juste une personne normale, qui n'avait plus aucun espoirs dans la vie. Survivre ne sers à rien si je ne pouvais accomplir ma vengeance.

« Pss, petite viens ici »

Je me retournai et regardai derrière une maison, une vielle femme était cachée là.

« Qu'est-ce que vous me voulez ? die-je avec les yeux plein de haine

-Petite on ne parle pas de cette manière à une vieille femme fragile. Et qu'elle dommage d'avoir une expression pareille sur un si jolie visage, quel gâchis...

-Je me fiche d'être belle on pas, ça ne me sortira pas de cette ville !

-Ma petite, tu devrais pas être aussi pessimisme !

-Qu'est-ce que vous voulez que je fasse à par attendre la mort !!

-Tu peux te battre ! Ne pas baisser les bras et continuer d'avancer la tête haute tel un lion !!

La femme avait , à cette instant, une lueur dans les yeux comme une étincelle d'espoir et aussi une force hargneuse qui rugissait en elle comme un ouragan déchaîné ! Avec cette seule petite phrase « ce battre », je crois que j'avais oubliée se que c'était se battre pour ses convictions et pour survivre ! La terreur de n'être qu'une personne sans idéaux, sans rêve !

J'avais les larmes aux yeux. Je baissai la tête et la femme dit

-Je te connais depuis longtemps...

Ah, ça aussi j'avais oublier sur le moment. J'étais recherchée de partout.

-Oui, je sais le démo...

-Non, je ne parlais pas de ta réputation mais de tes origines.

-Comment-ça, mes origines ? die-je étonné

-Je parle de tes parents.

Une sueur froide coula dans mon dos, l'atmosphère était devenu glaciale et le vent avait soufflé comme un torrent autour de nous. Je repris

-Vous connaissez mes parents ?

-Oh oui, je les connais bien...

Je ne dis rien, rien du tout. Elle continuai

-Mais moi, je te parle de tes vrai parents.

-Qu'est-ce que vous raconter ?

-Viens avec moi, je vais t'expliquer.

C'est la fin de ce chapitre ! Oui, je sais, il est petit mais en fait c'est un demi-chapitre.

Vous saurez la vrai fin de ce chapitre plus tard.