La Force Du Destin

partie 17

Pour aller en guerre, il faut avoir les bonnes armes , qui vise,guette le cible ,et ne le rate pour rien au monde . tout les moins sont bon, l'essentiel est de crier victoire en retournant chez soi!

-fadilou ! on en avait déjà parlé, soite tu reste calme, ou je le fais toute seule. dit Ndeyah avec un pointe d'énervement .

-d'accord! D'accord! ok c'est bon, ...Mais l'idée ? . .heu elle n'est pas banale selon toi? .réplique fadilou en hésitant.. il craignait

-OK c'est bon sala? dit Ndeyah à l'égard de la jeune fille qui était en face d'elle. ..lève toi on s'en va comme il sous estime mes plans dit'elle essayant de se lever suivie par la dite sala visiblement énervée.

-d'accord tu as gagné répliqua t'il en leva ses mains signe de défaite fessons ce que tu dis...je voulais seulement que la vengeance se fasse dans la manière les cruelles que je connais poursuit'il avec une mine grincheuse .

-doucement, lentement mais salement je le ferais avec lui. Le suivre sur son rythme nous conduira à l'erreur. nous ne devons pas marchait sur les mêmes longueurs . ousmane , Il est loin d'être un idot il nous faut usé d'autre méthodes... quand je finirais avec lui....

-quand "nous"...rectifia fadilou

-dite moi mon travail j'ai pas le temps interrompt sala ! calma de suite ses deux prédateurs

-molo ! lance ndeyah ! tout d'abord sachez qu'il a une faiblesse a l'égard de la gente féminine ,comme je vous l'avez expliquer tantôt. toi sala en l'a pointant son annulaire ton travail s'agit de faire sortie la diablesse qui est en toi ,accroche , tire et souche le jusqu'au os. réussis a détenir sa confiance, aie la personne en main! voila ce que consiste la première partie du plan...

fadilou semble reflechir par les propos avant d'ajouter...

-c'est ce que tu voulais dire par "la haine ne supprimera pas la haine seul l'amour y parviendra" ?

-c'est martin Luther King qui l'a dit je ne fais qu'affirmer ses pensées ....bon voila sala ! tu as 24 h pour hanter ses barrages nous savons tous ce que les hommes raffolent fait toi desirée , breff je ne vais t'apprendre pas ton métier aussi...

-24 h je ne vais pas agir comme une imbécile jusqu'à perdre ma crédibilité au moins 48 h répliqua t'elle

- sala ! les dés sont jetés a toi de savoir les maniements ajouta fadilou

-et mon salaire....

-t'aura un cheque blanc après un travail nickel ou sinon....dit ndeyah

-d'accord , elle temine son verre , prend son sac toise ndeyah du regard et quitte le salon

-tu as confiance ? demanda ndeyah aprés qu'elle aie quitter l'appartement

- À part entière juste le processus du plan qui ne m'enchante pas...

- tu ne vas pas revenir la dessous on passe au second....

- qui consistera à le decapiter et je le ferais volontier s'empresse t'il de répondre jusqu'à ne pas attendre le reste de la phrase de l'autre

Ndeyah fit un long soupire...

-fadilou meuno teyy teh dalal sa khol bi ( fadilou tu peux pas faire doucement et calmé ton coeur) dans la vie tout est question de philosophie . tant que la lenteur demeure la sûreté est assurée...

la sonnerie de l'appartement retentit ils se regardent dans les yeux chacun semblé être dans l'incompréhension

lentement, fadilou se leva pour vérifier ndeyah l'a suivée de derrière , après l'ouverture ses yeux s'embrouillent a la vue de cette personne , elle ne savais pas quoi faire . la serrée dans ses bras non... l'invitée a entrer sa aussi non.... non.. tout l'assurance qu'elle avait depuis ce matin s'est fondu, elle tente de refouler ses larmes , non il ne fallais en aucun cas pleuré , non il fallais...pas..non mais ces dernières comme des traites prirent leur route habituelle mais vite elle l'efface en l'envers de sa main avant de prendre parole....