partie 38

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Le climat était sirupeux peut-être un peu désagréable avec ce vent ensablé qui battaient en brèche les yeux des
piétons. je ne voulais rien entendre d'autres que les paroles qui
tombaient suavement sur mes oreilles. Je relevai ma tête pour vérifier si mon bus s'était déjà point.

J'étais à la gare pour me rendre au village ce jour-là. Celà fesait quatres jours que j'avais enterré ma mère. Ce fut une épreuve très difficile, pendant ces quatres jours je m'appitoyais sur mon sort, pleurant tout les larmes de mon corps. La perte d'une mère est mon premier vrai chagrin, pour moi qui croyais tout vu.

Même si cette dernière n'était pas la meilleure. Mais je l'a comprenais  car ce sont les épreuves de la vie qui ont durcis son coeur . Elle est morte dans la souffrance , sa vie était anéantie, elle n'a jamais connu de bonheur dans sa vie. Et c'est moi sa fille qui doit lui rendre justice et faire de sorte qu'elle soit fier de moi là où elle est.

L'heure n'est pas au déprime comme je le fesais ces quatres derniers jours mais de rendre la monnaie de la pièce aux personnes qui les meritent comme ce vaut rien de lunatique qui a détruit nôtre vie celle de ma mère et moi. Je suis consciente que je vais faire du mal mais tant que ça attenuera ma haine viscérale je le ferais.

J'avais augmenté le volume de la musique qui tombé en brèche dans mes oreilles pour ne pas ressentir cette douleur . Heureusement le bus arriva. Je prend mon ticket et monta dans le bus qui part à kebemer.

....

C'est vers 14 heures que je suis arrivée au village. Le trajet était long; la route était catastrophique pour moi . J'avais même cru que la voiture allé se renversé à un moment j'avais commençais de suite à regretter mon voyage. Mais lorsque je pense au but ça me booste et me donne le courage d'aller de l'avant.

Après un tour avec une charette qui m'amène dans une concession qui dit être celui de mon père je descend et le remercie. Je trouve une femme dans la maison qui avait dit que le vieux était au champs il y va chaque 13h et ne reviens qu'à 16heures. J'étais un peu découragé sur le faite de ne pas le trouvé.

Je l'informe que je viens de dakar et que je suis venu cherché son mari . Je n'allais pas dire que c'est mon père, elle m'invite a entré. Sa maison était grande répartie en plusieur case éloignées les unes des autres, une petite espèce de cuisine. d'un autre côté y'avait des enfants qui jouaient dans la boue elle se dirigea vers une case. Feule le rideau et m'invite encore.

-tu dois être fatigué prends un bain en attendant le repas. Kilifeu gui* va bientôt rentré fait comme chez toi m'avait t-elle dit avant de sortir

Elle m'avait pas donné le temps de répliquer qu'elle sort de la case en trombe. Elle avait l'aire d'être gentille si ce n'est pas de l'apparence, j'avoue que son attitude m'a surprise. J'avais pris un bain et me suis couché le voyage m'a affaiblie. Quelques minutes après une jeune fille était venue me dire que le repas est servie. Elle était tres belle, on devrait être sur la même tranche d'âge je crois. Je l'a suivait tranquillement en silence jusqu'à ce qu'elle l'a brise.

-tu t'appelle comment

-clara Dior mais on m'appelle Dior seulement

-moi c'est binetou, tu viens de dakar d'après ma mère?

-Oui, effectivement

- bienvenue chez nous

-merci !

On était arrivé ,j'avais l'impression que tout le monde était gentille, j'ai fait la connaissance de Diarra qui est une jumelle à Binetou. Je l'a trouve plus ouverte , sa jumelle est un peu taciturne. J'ai su que je suis plus âgé d'elles de deux ans au cours de nôtre petite discussion. On parlé jusqu'à ce que mon père fit apparition.

La Force Du Destin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant