Chapitre 5: Dispute fatale

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Ça va faire une semaine que j'exploite ma manière douce, il me parle plus, on partage des trucs diverse et varié, je lui lit les livres que je lit. Parfois je l'emmenais dans ma poche dans la foret ou je le garde pour regarder la télé avec nous. J'en oublie presque ma mission. J'étais entrain de terminer mon livre quand j'entends quelqu'un frapper à la porte de la chambre. Je vais ouvrir et vois ma sœur qui n'a pas l'air de très bonne humeur se qui est assez rare pour le souligner.

Mabel : Faut qu'on parle !

Moi : Eh...ok, de quoi ?

Mabel : Pas ici avec...lui...

Moi : Ok...

Je pars en lançant un regard d'excuse à Bill qui me répons avec son petit sourie habituel pour dire que se n'est pas grave ou qu'il sen fou. Je descend donc avec ma sœur, on s'installe sur la table à manger. Nos oncle était partit faire des courses donc on était tranquille.

Mabel : Dipper ça ne peut plus durer !

Moi : Quoi ?

Mabel : Ta fraternisation avec l'ennemi !

Moi : Mabel il n'est plus notre ennemi...

Mabel : Si ! Et tu es entrain de te faire avoir !

Moi : N'importe quoi !C'est moi qui suis entrain de l'avoir !

Mabel : Pas du tout ! La preuve il ne t'a toujours rien dit et toi tu laisse peu à peu tromper ! Dois-je te rappeler que certaine personne t'ont demandé de le punir ?

Moi : Je sais mais il a le droit d'avoir une chance...

Mabel : Il l'a déjà eu !Maintenant ne te pose plus de question et va casser cette saloperie !

Moi : ...

Je baise les yeux, je ne sais pas vraiment quoi faire car mon instant me dit de ne rien faire se qui n'est pas une options pour moi. Ma sœur vois mon désarroi et se calme pour venir à côté de moi et poser sa main sur mon épaule dans un geste réconfortant.

Mabel : Dipper...petit frère tu te pose beaucoup trop de question...tu sais quoi tu devrai aller te changer les idée en ville ! Va faire tes truc d'intello pour te changer les idée, moi je resterai gardé la boutique comme Moos est chez lui prés de Mélo !

Moi : Ok...

Mabel : Par contre désoler de te le demander mais tu pourra le prendre ? Je ne suis pas à l'aise avec l'idée de resté seul avec se démon.

Moi : Oui t'inquiet.

Je vais donc prendre la pyramide avec moi, de tout façons je ne compte pas la secoué donc je serai comme seul. Je vais donc en ville, je croise Wendy sur le chemin.

Wendy : Salut mec !

Moi : Yo !

Wendy : Alors champions ? On sauve la ville une deuxième fois ?

Moi : Comment ça ?

Wendy : Ber tu as reçu une mission divine mec ! Tu as fait justice en punissant cette merde de Bill pour l'éternité et bien plus !

Moi : ...

Wendy : Qu'est-ce qu'il se passe mon pote ?

Moi : ...

Wendy : ... Tu n'as toujours pas casser la pyramide chelou ?

Moi : ...

Wendy : Rrr...tu as trop bon cœur Dipper...mais tu sais certaine personne ne le mérite pas...surtout ceux qui n'ont pas de cœur...en tout cas je serai toujours avec toi mon grand !

Moi : Merci.

Je me dirige alors vers le restaurant de la vieille folle au chat. Elle me trouve un peu déprimer.

Moi : c'est rien madame...

Elle : Allons mon grand, tu sais que tout le monde dans cette ville t'es redevable, même si je pense vraiment a quitter cette ville. Franchement tout c'est truc qui se passe ici et en plus j'ai l'impression d'en avoir oublié la moitié...

Moi : Laissé tomber madame...

Elle : En tout cas tu es un brave petit d'avoir toujours tout fait dans l'interret des autres.

Moi : ...

Finalement je n'ai pas faim...je me dirige à la bibliothèque mais le même sema se répéta toute la journée, des gens m'exprimant leur reconnaissance et tout le blablabla en sachant que pour l'instant tout se que j'ai fait est de faire ami ami avec un mec qui n'est pas forcement fiable...mais mon instinct ne m'a jamais tromper ! Alors qu'est-ce que je dois faire ?! Finalement je percute quelqu'un, se qui fait glisser la pyramide de ma poche, je la rattrape juste à temps mais tout le monde a eu le temps de la voir. Ils commencent à me hué. Me disant que j'étais lâche. Que je devais la casser le plus vite possible si j'en avais les couilles. J'étais très oppresser et gêné devant l'insistance de tout le monde.

Bill : Franchement tu es minable.

Je n'avais pas remarquer que la pseudo chute avait assez secouer la pyramide pour faire apparaître Bill.

Moi : Quoi ?

Bill : Franchement tu as beau être le plus intelligent et tout, tu te laisse toujours dirigé par les autres.

Moi : N'importe quoi !

Bill : Tu sais que j'ai raison Dipper ! Tu as beau être tout se que tu veux tu es belle et bien très naïf!

Moi : Arrête de dire de la merde ! Tu ne me connais pas !

Bill : J'en sais bien assez !

Moi : De tout façons toi tu peux parler ! T'as vu la merde que tu es ?! Tu le monde me demande de te buter !

Bill : Ne prétend pas me connaître !

Moi : J'en sais bien assez pour dire que tu es sans cœur !

Bill : ...c'est mieux que d'être une marionnette.

Se fut le mot de trop, ça m'a rappelé à quel point se salop s'était foutu de ma gueule en me transformant en une putain de marionnette ! Je lève le bras en l'aire pour fracasser la pyramide en mille éclat sur le pavé sous le cris de détresse du démons. Je m'attendais à se que la terres'ouvre en deux et que Satan lui même viens tiré cette saloperie par la peau du coup ou au bout d'une chaîne dans les flamme d'un enfer si brûlant qu'il fondrai en une forme indéchiffrable,nauséabonde, hurlante et hideuse. L'image que je me faisait de son âme...mais se spectacle, certes d'une certaine violence ne s'offrit à moi, à la place le nuage de poussière s'échappa et s'agrandit au dessus de ma tête me faisant tomber, puis se dispersa et là...un jeune homme d'une vingtaine d'année, les cheveux au racine noir couper cour sur les coté, une mèche blonde,la peau légèrement bronzé, les yeux bleu terne cerné. Il porte une chemise crème un peu sale simple, un pantalons noir et poussiéreux, des chaussure classe en cuir et usé. Les manche retrousser laisser voir des symboles, des pentacles, des triangle. Il regarda ses mains. Je ne sais pas se qui ma choqué, le fait que le ciel est redevenu comme lors de l'apocalypse ? Le fait qu'il ne soit pas mort ou le fait qui me regarde l'air terrifié ?

Pacte avec le diableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant