Docteur Uchiha - Sasusaku

Prologue

Informations : Avant de lire je tiens à prévenir que je pense par forcément ce que disent les personnages. Ils sont fictifs et n'ont aucun rapport avec moi. J'ai inventé leur caractères, les dialogues

Cela fait 2 mois et 13 jours que Sakura Haruno, 17 ans, est internée dans l'asile de Konoha.
Elle n'ouvre la bouche que pour sortir les pires horreurs du monde.
Insulter et nuire sont devenus ses activités préférées.

Du moins les activités préférée de cette Sakura.
La vraie Sakura reste muette et cachée sous cette horrible personne, depuis son traumatisme.

- Hey toi le gros, au lieu de draguer des adolescentes sur les forums donne moi à bouffer ! Cracha la rose.

Le garde grogna. Il marmonna que ce n'était qu'une chienne et lui jeta du pain.

Un pain qu'il se prit aussitôt en pleine face.

Sakura se mit à rire de plus belle.

- Les obèses sont tellement facile à viser.

Le garde n'avait pas l'habitude de lever la main sur les personnes internés ici ou même de perdre son sang froid, cependant les insultes sur son poids l'atteignaient beaucoup.

Dans un élan de rage il gifla l'adolescente.
Mais au contraire les rires de Sakura s'amplifièrent.

- Ton poing de graisse ne me fais rien.

Voilà ce qu'était devenue le quotidien de Sakura Haruno. Une jeune adolescente d'à peine 17 ans.
Elle était promise de base à un bel avenir... jusqu'à cette soirée.
Cette soirée, ce garçon, le divorce de ses parents, ces événement qui ont chamboulé sa vie, retourné son cerveau.

Cela fait bientôt 4 ans que Sasuke Uchiha excelle dans son métier de psychiatre.
Connu pour ses idées farfelues et ses méthodes assez spéciales, il est toujours très demandé.

Il ne connaîtra jamais la crise.

- Ino. Écoutez moi.

La blonde qui était sa patiente mais également la cobaye de sa nouvelle méthode semblait avoir peu confiance au ténébreux.

- Vous êtes... trop... beau pour être vrai.

Cette phrase le médecin ne l'avait entendu que trop souvent et pas seulement de la bouche des patientes.

Ino était victimes d'hallucination. Dedans ce répétait le même épisode où elle se fait humiliée publiquement en train de manger des gâteaux caloriques.

Ouais c'est du lourd.

- Vous devez manger ce gâteau. Annonça le tenebreux.

C'était un gâteau aux végétaux mais déguisé en bon gâteau au chocolat.

Sasuke est pâtissier à ses heures perdues.

- N..ONNN ! Hurla la blonde.

Bipbip. C'était la montre connectée de Uchiha qui venait annoncer que son cours de yoga allait démarrer.

Le yoga est son péché mignon. Alors ni une ni deux il prit la pâtisserie et la jeta sur la face de sa patiente.

- DU GÂTEAU!!!!!! Hurla la pauvre jeune femme.

- C'est juste du putain de gâteau wsh. Enfin je veux dire c'est juste un gâteau mademoiselle. Se reprit aussitôt Sasuke.

- C'est trop bon... beurk ! C'est quoi ce goût de merde ?

- Des arbres. Des écorces d'arbre pour être plus précis. Et si on veut aller chercher au plus profond de la chose, c'est du bois.

- C'est pas bon. Grogna la blonde.

- Comment vous sentez vous ?

Aussi étonnant que cela puis paraître Ino n'avait plus d'hallucination. En réalité elle était tellement dégoûtée par les pâtisseries désormais qu'elle ne pouvait pas imaginer une seule secondes qu'elle pourrait se faire prendre en train d'en manger.

Encore une mission de réussi pour Sasuke.

Dès la semaine suivant l'intervention Ino Yamanaka a pu rentrer chez elle, auprès de sa famille et de ses amis.

- C'était rapide Ino. On n'a cru que s'en était fini pour toi ! Pleura Hinata, une amie proche de la blonde.

- Non t'inquiète, ce psy sexy est tellement doué... répondit Ino tout en mimant une mine écoeurée en voyant un fraisier.

- Tu crois qu'il peut tout résoudre ? S'enquit la bleutée.

Pour la blonde la réponse à cette question était évidente : oui.

- Oui, je parie que tu penses à la soeur de Sasori ?

Démasquée. Hinata était secrètement amoureuse de Sasori. C'était réciproque. Hors ce dernier refusait catégoriquement d'entamer une relation tant que sa soeur serait dans cet état.

Il se sentait trop coupable et se refusait le bonheur tant que sa soeur adorée, Sakura, ne rentrerai pas à la maison.

- Je l'appelle si tu veux, il m'a laissé sa carte. Proposa Ino Yamanaka.

Hinata remercia son amie.

Naruto Uzumaki adore ne rien faire. C'est son hobby.

Malheureusement son associé, patron et meilleur ami Sasuke était bien décidé à l'empêcher de pratiquer sa passion.

- Alors avec ta patiente ? Questionna le blondinet.

- C'est ok.

Une chance pour Naruto son ami n'était pas très bavard.

- J'ai eu des appels cet aprem ? Je m'ennuie faut que je bouge... marmonna le brun.

En réalité Sasuke n'est pas du tout un gentleman et parle comme un thug, ou plutôt comme n'importe quel personne de 21 ans.

Ne me demandez pas comment ça se fait qu'à 21 ans il soit psychiatre depuis 4 ans, c'est le talent.

D'ailleurs son jargon ressort la plupart du temps quand il est pressé, énervé ou bien tout simplement avant son cours de yoga.

Et avec son meilleur ami il peut se relâcher.

- Mouais une fille qui s'appelle Ino.

Sasuke se rappelait très bien cette blonde dont la plupart des neurones étaient déficients.

Le gâteau qu'il avait mis plusieurs minutes à confectionner.

Bah ouais le temps c'est de l'argent.

- Elle veut quoi ? Si c'est mon num dit lui que c'est écrit sur ma carte de visite, la conne.

En vrai en disant cette phrase c'était lui qui paressait non doté d'une intelligence étant donné qu'elle l'a appelé, elle savait donc son numéro.

- Nope elle dit qu'elle a du boulot pour toi. Répondit le blond qui servait d'assistant au psy.

- Cool. Je suis prêt. C'est où ?

- À Konoha. Près de Paris.

Je prends le premier avion dès demain se promi intérieurement Sasuke.

Une nouvelle mission, une nouvelle patiente, un nouveau défi.

Fin du prologue.

Voilà, c'est donc ma première fanfiction "sérieuse" où il n'y aura pas d'école... blahblah... de groupes...etc
Elle restera une histoire écrite avec mon humour habituel (c'est à dire qui fait tout partir en couilles ^^').
Il y aura 3 couples Sasusaku, Naruhina et NejiTen.
Sachez que je ne pense pas forcément tout ce que j'écris, certaines choses sont à prendre au seconde degrés.