Les gens ne m'intéressent plus,
Je vis de l'autre coté du miroir,
Là où les caméras,
Transpercent le coeur.
Alors j'écris,
Les lignes camiliennes.
Ton coeur est plein de cendres, tes vêtements sentent le tabac froid. Ce que tu me dégoûtes, mais je ne peux pas cacher, cette course me fera mourir pour quelque chose de fragile. La beauté se gorge dans les fleurs de mon esprit, que tu allumes, avec un briquet.
Je meurs,
À petit feu,
Pour quelque chose,
De fragile.
C'est difficile de ne rien dire. Avoir envie de vomir en pensant à toi et ces nausées terribles. Vertiges artificiels. Ton âme est noire comme du charbon, car tu chantes souvent les charmes du diable.
Le vice de la liberté, je fuis la destruction quand ce n'est pas moi qui l'impose. Tu ne m'auras pas. Je ne tomberai pas en pièces... Mais lentement, ta main autour de ma gorge, il n'y a rien de plus beau que tes "je t'aime".
Et je mentirai,
Si je disais,
Que je n'aime pas ça.
Tu ne me verras plus. Parce que j'ai peur. Peur de savoir lequel de nous deux... mourra en premier.
