Voir mes amis danser, regarder ces sculptures de chairs en mouvement dans le vide, c'est tout ce dont j'ai besoin pour survivre. Et pourtant l'ennui me fait courber le dos. Je meurs d'ennui. Quand tu essaies de me parler, de m'aider, de me faire sourire, tu m'emmerdes.
Je ne vis que pour un seul. Tous tes gestes sont faux, peut-être trop calculés. Mon dieu faites que rien ne dure. Tu n'as rien de plus qu'une autre personne...
