Approche Toi mon Ange..

Chapitre 24 ➖

Pendant que Jahed luttait contre la mort dans le bloc opératoire, où une équipes de médecins tout autant qualifié les uns plus que les autres, s'affairent autour de lui pour le maintenir en vie.

Le bip assourdissant de son rythme cardiaque s'affole, créant une alerte au sein de l'équipe médical.

- BON SANG INJECTER LUI DU SANG IL EN PERD BEAUCOUP... hurle t-il sous la pression de perdre son patient qui est, non seulement une star dans le monde de boxe mais aussi l'idole de sa femme, et secrètement l'amant d'une très bonne confrère qui exerce dans le même hôpital.

Les assistants s'activent dans le bloc opératoire contribuant a son sauvetage.

Le chirurgien s'acharne contre l'hémorragie interne fouillant l'intérieur de son anatomie
afin de trouver la source des dégâts.

Aider par son binôme qui est l'un des meilleurs chirurgien de la ville mais aussi son vielle ami, il mesure les dégâts d'un œil attentif qui sont considérable.

-Comme à l'ancienne mon ami, nous allons sauvé se gaillard a tout prix... promet il d'un regard décisif.

À partir de là, une symphonie d'instructions et d'ordres fusent dans l'enceinte du bloc opératoire où les assistants et infirmiers agirent en synchronisation pour sauver la vie de se patient.

De l'autre côté de la pendule, c'est terrifié que se trouvent ses amis, l'idée de perdre leur frères, les épouvent au plus haut point.

Ryder la tête baissé soutenu par ses mains, essaye de contenir sa colère tant bien que mal,  quant à Julian, lui glisse dos au mûr dévasté par la peur de perdre son ami.

- Quelqu'un devrait prévenir Léna.

Julian se contente de hoché négativement la tête ne pouvant faire face a la situation.

Ryder empoigne sa veste et récupère les clés du 4×4 pour annoncer la nouvelle à la petite amie de son frère.

Certe rien n'était clair vis à vis de leur statut mais c'était évident, évident que Léna est son coup de foudre, son ange, la personne qui l'apaise, qui le fait sourire, qui le rend d'une façon ou d'une autre heureux, nul n'aurait besoin de le crié haut et fort car même un aveugle saurait l'importance et l'amour qu'il porte pour elle tout comme elle porte pour lui.

Ainsi il roule vers l'appartement de Léna, tout en réfléchissant à la manière et au ton qu'il devrait employé pour lui annoncer.

- Qu'elle merde !! je suis sensé dire quoi moi ?《 Jahed c'est fait percuté et il est au bloc opératoire ! 》trop cru! << salut, n'angoisse surtout pas mais Jahed a eu un accident 》 bin Putain je suis dans la merde, pense t-il a voix haute.

Quelques minutes plus tard, il manipule le grand 4×4 dans l'aller afin de faire son créneau, il ne daigne pas le verrouiller et traîne d'un pas lourd face à la porte de Léna.

-Porte tes couilles, s'en courage t-il avant de frappé à la porte.

Trois coups retentirent....

Fagoté dans mon pyjama hivernal, je me débarrasse des quelques larmes qui persistent et si il ne veut plus de moi et que sa devenait trop serieux ?Et si il lui est arrivé quelque chose?

Les trois coups à ma porte me fit sursauté de mon sofa.

- Jahed...

C'est le cœur battant que je me dirige vers l'entrée, ne me souciant guerre de mon apparence négligé, de mes cheveux en bataille, mes yeux injecter de sang, seul Jahed m'importe en se moment même.

J'ouvre la porte à la volé mais se fut le choc.

- Toi ? m'exprimais-je étonnée. Que fais tu ici ? Et ou est Jahed ? le questionnais je à la hâte.

-Je peux entré ?

-Oui, désolée, entre.. l'invitais je en m'écartant de la porte.

Je le suivie jusqu'au salon embarrasser par le désordre qui raigne, entre mouchoirs, biscuits et plaid, tout les indices qui porte préjudice.

-Excuse pour le bordel, débarrassais je le sofa.

-Ce n'est pas important, installe toi s'il te plais, j'ai à te parler.

Le ton qu'il emplois me fait froid dans le dos, dans le sens où j'imagine le pire, l'angoisse serre mes entrailles et la peur se propage dans tout mes membres.

-Jahed était pressé de te retrouvé après son match, mais.. souffle t-il la tête baissé.

- Mais quoi Ryder ? Il lui est arrivé quelque chose ?  je ne contrôle plus mon corps qui réagis a ma place sentant le pire.

-Il a euun accident, une voiture la percuté, il est au bloc opératoire en se moment même... lâche t-il d'une traite.

Vous savez se sentiment de vide ? où vous ne ressentez absolument rien que le néant ?
Un trou béant creuse mon cœur qui se fait bâillonner par des chaînes, des chaines qui le comprime au point de l'étouffer 

Le corps presser et le cerveau absent,  je pris un moment de recul, les mots étouffer dans ma gorge qui n'arrive a franchir la barrière de mes lèvres.

Mes lèvres se mirent à tremblé alors que mon sang se glace dans mes veines.
Vous connaissez se sentiment d'être au fond d'un puit ? Mes idées se bouscules dans ma tête, mes sens en alerte, le temps se fige dans l'espace, ne voulant croire à se mensonge qui n'est seulement une réalité.

Le regard dans le vide, je me laisse tombé à terre ou mes hurlements strident et saignant éclatent tel des orages déchaînés, manifestant douleur, une douleur lancinante au cœur.

Aimer c'est donné le pouvoir de détruire et d'abîmer son partenaire.

Ryder, agenouillé, les yeux larmoyant me relève compatissant à mon triste sort.

-Ton manteau Léna, je t'emmène.

J'empoigne mes clés à la hâte d'une main et enfile mon manteau d'une autre, brouiller par les larmes je ne me rend pas compte de se que je fait ni dit.

Ryder me retire les clés et verrouille la maison avant de rejoindre le côté conducteur puisque j'étais déjà installé dans la voiture.

Mes pensée, mon cerveau, mon esprit et mon âme sont fixé sur Jahed.

Des prières silencieuses chantonnent dans ma bouche, je pris qu'il s'en sorte saint et sauf.

Peu de temps après, je me retrouve les fesses aplatis sur une chaise peu confortable dans la salle d'attente, en compagnie des trois hommes, mes sanglots silencieux ne les perturbent pas pour autant et c'est mieux ainsi.

Les heures défilent sans aucune nouvelle de l'être le plus cher pour nous dans cette pièce.

Nous interrogeant chaque infirmières chaque personne qui porte une blouse, mais en vain personne ne peut nous donné des nouvelles.

Ainsi nous passâmes une nuit blanche entre peur, angoisse, pleures et prières.

Julian ne pu s'empêcher d'agresser quelques infirmiers qui se précipite vers la zone interdite, réclamant des nouvelles de son meilleur ami.

Parfois le coach faisait des allers et retour entre la cafétéria et le couloir menant au bloc opératoire dans l'espoir d'avoir une nouvelle.

Ryder lui ne pu se contenir, et fini par se révolté en saccagent la salle d'attente, il lui fallut une bonne heure à l'extérieur et plus d'un paquet de cigarette puisque à son retour il empestait la clope.

Quant a moi, c'est le néant, le cœur en miette je me remémore tout nos moment ensemble, certe notre relation date de peu, mais notre amour est fugace, passionnelle, sombre dans son genre... il ma rendu accro à lui et lui avide de moi, alors il ne peux m'abondonnée aussi facilement, nous avons tellement de chose à accomplir, à se confier et à vivre.

Alors je me résigne au silence, rongeant mes ongles jusqu'au sang dans l'espoir de le revoir en vie, sain et sauf.