Elle marche seule, étrangère,
Regardant le monde et ses pairs.
Elle ne voit en eux ni âme ni cœur
Et leurs cruels manèges l'écœurent.
La société se détruit lentement,
Court droit à la folie du sang,
En se plantant un couteau
Consciemment dans le dos.
L'homme n'a pas besoin de prédateur,
Il est son propre destructeur.
En haut d'une pyramide qu'il détruit,
Bloc par bloc, jusqu'à ce que mort s'en suit.
Mais elle est aussi humaine,
Appartenant à une race de haine
Et ceci est sa plus grande honte :
Savoir l'humanité en décompte...
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Envolez-moi
PoetryJ'ai ouvert la cage de mes pensées et des poèmes se sont envolés, représentants de mon âme qui se cherche au rythme de mes rimes et à la mélodie hypnotique de ma plume qui gratte le papier. Encre déversé pour alimenter mes rêves et me donner la for...