La pluie clapote sur le trottoir,
L'eau coule sur sa peau diaphane
Et sur ses grands yeux félins et noirs
Qui dans l'obscurité émanent.
Une fugitive silhouette
Insensible au froid d'automne,
À l'air grisant de la tempête
Et aux nuages autonomes.
Un de ces humbles brins d'herbe,
Résistant à la force du chaos
Et à ses torrents acerbes
Mais qu'abattra le teneur de faux.
Force de la nature tuée
Sur le champ de bataille,
Abattoir de l'humanité
Dont le bon sens déraille.
VOUS LISEZ
Envolez-moi
PoetryJ'ai ouvert la cage de mes pensées et des poèmes se sont envolés, représentants de mon âme qui se cherche au rythme de mes rimes et à la mélodie hypnotique de ma plume qui gratte le papier. Encre déversé pour alimenter mes rêves et me donner la for...