Il y avait ces cris,
Ces cris aussi impénétrables que le temps
Qui ne laissent répit
Aux âmes sourdes et aux cœurs grandiloquents.
Et puis ce silence
Qui n'est peuplé que pour les indolents rêveurs,
Fragile faïence
Dont l'immobilité trompe cette torpeur.
Suivi des murmures,
Les débris de notre parole humaine
Qui sont et qui furent
Les ouvrages de nos tentatives vaines.
Et au-delà la voix,
Indéchiffrable pour l'esprit pragmatique
Qui ne connaît de loi
Que celle échappant au sens poétique.
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Envolez-moi
PoetryJ'ai ouvert la cage de mes pensées et des poèmes se sont envolés, représentants de mon âme qui se cherche au rythme de mes rimes et à la mélodie hypnotique de ma plume qui gratte le papier. Encre déversé pour alimenter mes rêves et me donner la for...