Tellement de portes fermées
Pour pénétrer en son cœur scellé,
Perdu au milieu de ce dédale
Qui un triste jour lui sera fatal.
Ce labyrinthe qui la retient
En vérité n'en est pas un,
Il n'est qu'un amas de murs,
Parois à la morbide ossature.
Et dans lequel l'écho rebondit
Reflétant une haine vieillie
Qui entache cet organe vital
De ces larmes aux couleurs pâles.
Au centre de ces cruels croisements,
Le vide, tapi dans l'ombre, l'attend
Pour la saisir de ce soudain vertige
Qui ses sentiments perpétuels fige.
Elle est tombée dans ses propres filets,
En essayant de fuir pour ne plus nuire.
Elle a voulu se cacher derrière la haie
Qui a grandi et a fini par l'engloutir...
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Envolez-moi
PoetryJ'ai ouvert la cage de mes pensées et des poèmes se sont envolés, représentants de mon âme qui se cherche au rythme de mes rimes et à la mélodie hypnotique de ma plume qui gratte le papier. Encre déversé pour alimenter mes rêves et me donner la for...