Childhood Memories (larry stylinson)

Chapitre 14 : Hannah

Le chapitre 14 est enfin en ligne! Je m'excuse de mon retard mais comme j'ai repris les cours, je ne peux pas trop écrire donc je publierai des chapitres moins souvent et je m'en excuse~ Mais donnez moi vos avis sur ce chapitre, j'espère que vous aimerez! :)

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Louis’ POV

Cela faisait plusieurs jours que je rendais visite à Harry chaque soir après les cours pour le divertir. Il m’avait avoué que personne n’était venu sauf ses parents, moi et à mon plus grand étonnement, Liam. Ce dernier ne lui avait pas lancé un regard, il s’était contenté de rester debout, près de la porte, les mains dans les poches. Liam n’était pas d’une nature bavarde alors ils étaient restés silencieux, échangeant quelques mots par moment. Alors que je m’apprêtais à quitter le lycée pour rejoindre le bâtiment dans lequel Harry passait ses journées, quelqu’un se plaça sur mon chemin. De longs cheveux bruns et ondulé, du maquillage ornant des yeux pétillants, des lèvres qui s’avéraient être très douées après nos meilleurs parties de jambes en l’air. Eleanor. Elle me regardait avec ce sourire bête et habituel puis elle commença :

-Louis, je pensais que tu pourrais aller chez moi ce soir… Tu sais, pour qu’on s’amuse tout les deux.

Elle se mordillait la lèvre inférieure comme pour essayer de me convaincre de passer la soirée avec elle mais je me contentais de l’observer en esquissant un sourire. Et là, je posais ma main sur son épaule.

-On s’est déjà bien amusé El’ mais moi je suis un homme avec de grands besoins. J’ai besoin de changement. C’est pour ça que j’en ai trouvé une nouvelle qui se débrouille tout aussi bien que toi avec une bouche excellente et un cul parfait.

Ses lèvres s’étaient ouvertes en grand pour former un ‘O’ et je lâchais un petit rire. À vrai dire, ce n’était qu’une connerie. Je n’avais pas trouvé quelqu’un de mieux qu’Eleanor, sexuellement parlant puisque je passais mon temps à parler avec Harry sans m’occuper de mes désirs et pourtant je savais qu’au fond de moi, j’avais incroyablement besoin de quelqu’un pour me satisfaire. Je reprenais donc mon chemin en prenant le soin d’éviter de la toucher. Je venais sûrement de la faire pleurer, de la faire me détester mais je me fichais bien de ce qu’elle pouvait penser. Après tout, une queue est très facile à trouver de nos jours. Je souriais pour moi-même à cette pensée et je montais dans ma voiture.

Lorsque j’arrivais devant la chambre d’Harry, je frappais à la porte. Aucune réponse. Je pénétrais donc dans l’habitacle avec la plus grande douceur, Harry devait sûrement être exténué et il avait jugé bon de faire une petite sieste mais la chambre était vide. Le lit était certes défait mais aucunes traces d’Harry. Je fronçais les sourcils et mon cœur commença à s’accélérer. Où était-il bon sang ?! Je me décidais à retourner à l’accueil pour questionner les infirmières et lorsqu’on m’annonça qu’il était simplement allé se balader autour de l’hôpital, mon sang repris sa course dans mes veines et l’air se frayait enfin un chemin jusqu’à mes poumons. Je remerciais rapidement la femme puis je rejoignais l’extérieur. Même si cet hôpital datait du XXème siècle, il avait tout de même était retapé. Les murs avaient été repeints, le matériel était de meilleure qualité. Mais le plus important était que cet hôpital jouissait d’un parc uniquement réservé aux personnes séjournant à l’hôpital. Les bancs étaient remplis de vieilles personnes ou d’enfant dans des tenues verte pistache. Je me figeais devant lui et Harry releva son regard. Je sentis mon cœur battre à tout rompre lorsqu’un sourire étincelant se scotcha à ses lèvres. Ses fossettes se dessinaient sur ses joues, ses jolies fossettes qui le rendaient tellement beau et tellement innocent.