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Le lendemain, comme prévu, un chauffeur était venu me chercher.

Après environ 1h30 de route, nous sommes arrivés devant une très belle villa où se trouver le fameux Alfredo qui sortait lui aussi d'une voiture.

Il ne c'est pas gêner pour me regarder de haut en bas

- vous auriez pu faire un effort vestimentaire !

Mes vêtements était pourtant propre. Je porter un jean avec un tee-shirt en coton et des tennis.
De toute façon, je m'en fiche! C'est pas comme si je venais assister à un défiler.

Une dame est venu nous ouvrir la porte et en vue de sa tenue celle ci doit être la gouvernante des lieux.
Une fois à l'intérieur, un homme est venu vers Alfredo.

Alfredo : Raphaël

Raphaël : Qui est-ce ?

Alfredo : ton cadeau

Raphael : qui est-ce ?!

Il avait dit d'un ton tellement froid, que son frère souffla avant de lui répondre.

Alfredo : c'est la fille parfaite pour toi, obéissante, ne parle pas beaucoup et prête à satisfaire tout tes désirs sans branché si tu le lui demande!

Raphaël : c'est quoi ces conneries encore?!

Alfredo : écoute, toi et moi on sait l'appétit que tu as et à quel point tu peux être compliqué aussi... Elle est dressé à la perfection et puis elle pourra aider Maria qui se fait vieille, et de toute façon elle est à toi, tu peux en faire se que tu veux...
Mais si tu ne la veux vraiment pas et bien je la donnerai à notre frère, tu sais que lui en profitera comme il se doit.

Raphaël : arrête d'en parler comme si c'était une marchandise!

Alfredo : rire- tu la défend déjà ?

Raphaël : ne commence pas ! Tu sais très bien que je déteste ce genre de comportement!

Alfredo : oui, bon je dois y aller, je te la laisse ou je la ramène chez Gabriel ?

À ce moment là, j'ai pour la première fois, depuis mon arriver, levé les yeux vers lui.
Je l'ai supplier du regard, je ne connaisser pas ce Gabriel, ni lui d'ailleurs mais j'ai compris que son frère jumeaux était pire...

Il m'a fixer à son tour avant de dire à son frère qu'il pouvais me laisser ici, chez lui.

J'était tellement soulager...

Une fois son frère parti, Raphaël alla parlé à Maria avant de monter à l'étage sans dire un mot.

Et puis là, j'ai pris conscience que je lui avais sûrement fait pitié en le regardant de cette manière et qu'il c'est sûrement senti obligé de me garder avec lui.

Je regretter déjà!

Maria, la gouvernante de cette maison, est venu me voir
avec un sourir qui se voulais rassurant.

Maria : bonjour mademoiselle

- bonjour madame

Tout nous opposeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant