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Finalement, l'appétit n'y était plus et le dialogue non plus.

Après un peu plus de 2h, nous avions atterri, et là encore, aucune parole entre nous.

Il descendit du jet sans m'attendre, alors je le suivit jusqu'à la voiture qui nous attendait. Et après une trentaine de minutes nous étions arrivés devant une magnifique villa, typiquement italienne.

Il descendit de la voiture en lâchant quelques mots en italien au chauffeur et une fois de plus il m'avait ignorait en prenant les valises et en entrant dans la ville.

Une fois à l'intérieur, il pris les escaliers pour monter à l'étage, tandis que moi je n'osais pas bouger.

Ce n'était pas chez moi, et pire encore, je ne connaissais pas les lieux.

Je me suis assise sur les marches en attendant qu'il vienne me chercher.
Sauf qu'une heure plus tard, toujours rien...

Alors je pris l'initiative de le rejoindre à l'étage.
Il était grand, donc je ne savait pas vraiment où me rendre.

- mr Donatelli ?

Aucune réponse

Puis je vis une lumière jaillir du bas d'une porte.
Je frappa à celle-ci, et une fois de plus, aucune reponse.
Alors sans attendre, j'ouvris la porte et il me fusilla du regard

Il était sur un lit entrain de taper sur son ordinateur portable.

Raphaël : qui t'a autorisé à entrer ?!

- j'ai tapé mais vous ne m'avez pas répondu

Raphaël : sors de là.

- je.. je vais où ?

Raphaël : dégage!

Je sorti de la chambre et retourna en bas où je pu trouver facilement le salon.

Et en m'aventurant encore, j'ai pu trouver la cuisine.
J'avais vraiment faim mais malheureusement les placards de sa cuisine ainsi que son frigo étaient vide.

Tant pis

Je pris le plaid qui était posé en décoration sur l'un des canapés avant de me déchausser pour m'allonger entièrement vêtu.

Je m'y du temps à m'endormir, mais au milieu de la nuit je me fit réveiller brusquement

Raphaël se trouvait face à
moi

- il y a un problème monsieur?

Raphaël : monte à l'étage.

Oh mon Dieu, non...

Je me douter de ce qu'il allait encore se passer mais je ne dis rien car je ne savais pas ce qu'il pouvait faire.
Je n'était pas dans mon pays, j'étais loin et seule. Alors je n'avais pas mon mot à dire

Je m'était levée pour me rendre à l'étage, et une fois en haut des marches j'attendais qu'il m'indique le chemin à prendre

Tout nous opposeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant