Tout nous oppose

3.

Les jours passent et se ressemblent.

Raphaël ne m'avait pas demandé de partagé son lit et j'espèrer que celà dure longtemps mais j'avais parlé beaucoup trop vite!

Il était rentré un soir, plus tard que d'habitude et l'air plus sévère encore, il était énervé.

- bonsoir monsieur, je vous chauffe votre repas?

Raphaël : monte dans la chambre en face de la mienne et déshabille toi.

- qu.. quoi ??

Raphaël : tu n'ai pas là pour me servir et satisfaire mes besoins ?

- ou.. oui monsieur, mais-

Raphaël : alors maintenant monte et fais ce que je te demande.

Il me devance et se dirige vers sa chambre, quant à moi, mes larmes ne cesse de coulé, j'essaie de les contrôlé mais je n'y arrive pas. J'était beaucoup trop angoissée.

Puis je repense à mon père, la vie de misère que je mené là bas et surtout ce qu'il m'attend si Raphaël venait à se plaindre de moi. Je me ressaisi en essuyant mes larmes.
Je rentre dans cette pièce sombre, toute tremblante et retire mes vêtements un à un et les dépose sur le canapé qui se trouve dans la chambre.

Je suis en sous-vêtements et je me rappelle qu'il me voulait nu... Je retire alors le soutien-gorge et garde ma culotte, je ne peux pas découvrir ma partie intime.

Je l'attend, debout, tête baissée, dans un coin de la chambre, en cachant mes seins de mes mains.

Il arrive alors et je l'observe discrètement grâce à la lumière du couloir, je peux voir qu'il porte seulement une serviette autour de la taille.

Raphaël : avance.

Raphaël : retire tes mains.

J'éxécute avec beaucoup d'hésitation mais fini par le faire.

Raphaël : qu'est ce que je t'ai demandé en bas ? Dit-il en serrant les dents.

Il n'était vraiment pas d'humeur et il fallait surtout pas que j'en rajoute une couche.

- de me déshabillé monsieur...

Raphaël : alors pourquoi tu porte toujours ta culotte ?!

- je suis désolée, j'ai juste du mal avec le fait de me retrouvé nu devant vous

Raphaël : retire la.

- s'il vous plaît...

Raphaël : de suite!

Je m'exécute une fois encore et l'enlève en mettant mes mains devant instinctivement.

Raphaël : si je te répète encore une fois, d'arrêté de te caché avec tes mains, tu le regrettera!
Maintenant détache tes cheveux et place toi au milieu de la pièce.

Une fois fait et positionnée, il vient me bâillonné la bouche et m'attacher les mains avant de les lever vers le haut pour les accrocher à une chaine qu'il venait de faire descendre du plafond, il retire ensuite sa serviette avant d'aller ouvrir un tiroir pour en sortir un fouet, et fermé la porte pour qu'on se retrouve dans le noir, à peine éclairé par une lumière tamisée.