Fairy tail Fairy heart

Chapitre 11

Lana était estomaquée des larmes, normales cette fois recommencèrent à couler sur ses joues, suivant les sillons roses pour venir s'échouer au bord de ses lèvres.

-Je ne sais pas c'est quoi ton problème Loki, le truc qui te pousse à accepter les missions les plus périlleuse et à vouloir à ce point mourir, mais ne te défoule pas sur moi parce que je t'ai sauvé la vie.

Elle rentra, traversa le Q.G d'un pas rapide et et s'enferma dans l'infirmerie en claquant la porte.

Un mois plus tard, Lana et Loki s'étaient réconciliés et cette dernière avait réussi grâce à un sort à cacher ses cicatrices même si ces dernières étaient toujours présentes. Ses cheveux maintenant lui arrivaient à la mâchoire, ils étaient ondulés et ne mettaient pas très en valeur son visage ovale. Elle avait encore un peu maigri mais cela lui allait plutôt bien. Elle entra à l'infirmerie quand elle entendit des gémissements, d'un geste sec elle ouvrit les volets et la lumière éclaira de plein fouet... Loki qui avait plaqué contre le mur de l'infirmerie une fille rousse.

Lana écumait de rage, elle avait toujours eu peur de perdre sa virginité avec le mauvais garçon et depuis le début son instinct lui avait souffle de ne pas céder trop tôt à Loki, elle comprenait pourquoi maintenant.

D'un geste elle écarta Loki de la rousse et dit à cette dernière d'une voix basse et il faut l'avouer simplement effrayante:

-Tu vois ce salaud là qui te faisait l'amour? Il ne t'aime pas. Il est juste frustré que je ne veuilles pas coucher avec lui des le premier soir! Et il évacues son trop plein d'hormones sur toi sale garce, il ne fait que se servir de toi! Dégages avant que je ne décide de te mettre en miettes!

La fille rousse hocha la tête avec force, ramassa ses vêtements avant de prendre ses jambes à son cou.

-Lana...commença Loki.

-Ta gueule. Inutile de préciser que si tu me reparles je te tues.

Et Lana le poussa vers la sortie. Des qu'elle l'eut chassé elle attrapa un petit flacon de verre et recueillit les larmes acides qui dégoulinaient sur ses joues. Elle plaqua ses mains sur sa bouche pour que personne ne l'entende hurler.