CHAPITRE 4 : Capitale

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Elle sourit, on mange et après on prépare les chevaux et nos sac pour partir dans la ville la plus proche car la forêt c'est bien mais à petite dose.
Maintenant, on va juste espérer d'être bien accueillie.
Trouver une maison pas trop cher et si possible apprendre à contrôler mes pouvoirs avant d'être renvoyé au bûcher!

Ça va faire presque une heure qu'on monte à cheval et on commence déjà à voir quelque maison signe qu'une ville n'est pas très loin.

On s'arrête un peu pour laisser boire les chevaux, Estia et on repart de plus belle.

On arrive dans la ville, elle est très grande et il y a énormément de monde par rapport à ce que j'ai été habituée à voir.

On ne sait toujours pas ou on est, on décide donc de le demander aux personnes près de nous.

-Excusez moi mesdames mais ou sommes nous?

- Vous êtes à la capitale.

-Merci.

La capitale?!
Voilà pourquoi il y a autant de monde!
On est dans la ville où habite le roi et tout les nobles, vas y pour trouver une maison pas trop cher dans tout se merdier !

- Il faut qu'on se trouve un logis et un travaille dis je et il ne faut pas tarder.

Flore acquiesce.

- On se sépare et on se retrouve dans environ deux heure ici.

-D'accord, on fait comme ça.

- Tu cherche le logis, moi je me charge du travaille et de la nourriture de ce soir.

- Ok, à toute à l'heure.

Je pars directement vers le marché, je crois que ce sera la tâche la plus facile de la journée.

Je prends quelque fruit et légume et demande en même temps si ils n'ont pas besoin d'apprentie comme ça trouver un travaille sera peut être plus facile.

Mais la plupart des marchands me disent que non.
Je commence à perdre espoir quand j'entends une voix derrière moi.

-Qui voilà, Aurore? Aliénor? Aude?

Je me retourne.

- Non, non et encore non dis je en souriant au soldat de se matin.

-Aller quel est votre prénom me supplie-t-il.

-Quel est le votre?

- Je me nomme Adson dit il en faisant une sorte de révérence et vous.

C'est trop bizarre.
Pourquoi tout le monde nous regarde? On fait rien de mal, on apprend à se "connaitre".

- Je me nomme Constance dis je en lui faisant une révérence très mal exécuté.

-Quel joli nom pour une aussi belle fille.

Je sens mes joues rougir.

- Je dois y aller dis je pour détourner l'attention.

- Je peux vous accompagnez.

- Je ne crois pas qu'essayé de trouver un emploi et un logis , vous amuserais.

- Je peux vous en trouvez un au château.

Il croit sérieusement que le roi pourrait accepté que deux inconnues s'introduisent dans son château, non je ne crois pas.

- Ça ne marchera jamais.

- Je vais demander retrouvé moi ici, ce soir me dit il droit dans les yeux.

ConstanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant