Je suis malade, malade de toi, de ton sourire, des tes conneries. Malade de tes yeux bleu saphir. Malade de ton corps frêle et de tes lèvres brulantes, de tes mains chaudes, de ton visage à la douceur infantile, de ton regard transperçant. Le temps passe et putain, je n't'oublie pas. Je suis malade, malade de toi. Tout explose autour de moi. Rien ne va sans toi.
Me soigner ? Bordel qu'est-ce que j'aimerai. T'oublier ? Je ne peux pas. Je ne veux pas.
Nos souvenirs me hantent jour et nuit. Je rêve de toi, de nous. De ce « nous » qui n'existe plus. Désormais il n'y a que des « toi » et des « moi », des promesses brisées, des paroles en l'air. Ces paroles qui m'ensorcellent chaque jour un peu plus mais que faire ? Tu est parti. Tu ne reviendra plus.
Cest fini.
Ce putain de truc qu'on appelle l'amour m'a brisée, détruite, liquidée. Il n'y avait plus d'alchimie. Le chagrin est infini. Je ne suis plus la même. Oublie la petite fille qui faisait confiance. Oublie le sourire que tu voyais. Le vrai. Oublie-le. Oublie-moi. Ou peut-être pas. Non, ne m'oublie pas. Garde un souvenir de moi pour le plus petit qu'il soit. Rappelle-toi de mon prénom, de notre date. Rappelle-toi de la fois où nous avons été pris en flagrant. Rappelle-toi de nos fous rires, de nos pleurs, de nos disputes débiles...Rappelle-toi que je t'aimais.Si seulement je ne t'avais pas laissé filer. Si seulement j'avais su te garder. Trop tard. Cest fini. Je suis malade, malade de toi.
Je n't'oublie pas.
♥
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Poète d'un soir.
PoetryÂme solitaire désirant vider son cerveau en fumée et libérer son cœur bien trop abimé ces derniers temps. #62 en Poésie