Chapitre 4 Partie 1: La vérité éclate...

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Jacques surpris : Bonjour lieutenant que puis-je faire pour vous ?

Djibril souriant : Bonjour Monsieur Nevers, je viens vous prévenir que le commandant Marquand a été transféré à la prison de la santé ce matin et que Madame le juge pourras le voir dès demain... Il m'a aussi donné ça pour Madame le juge (lui donne la lettre)

Jacques prenant la lettre : D'accord merci Djibril...

Le lieutenant retourna à la brigade aider Victor, pendant ce temps-là Alice venait tout juste de sortir de la chambre de Joséphine qui était anéanti par la nouvelle, pendant plus de 20 minutes elle avait pleuré dans les bras d'Alice. La juge décida de retourner à la brigade pour voir s'il y avait du nouveau et surtout elle ne voulait pas être tenue à l'écart de cette enquête. Même si c'était douloureux, elle devait le faire pour elle pour lui et pour leur famille, elle devait retrouver Léa avant qu'il ne soit trop tard et que Marquand se retrouve marié avec sa pire ennemie et ça elle ne le supporterait pas. Elle arriva devant sa voiture, elle monta dedans et prit la direction de la brigade.

Pendant le trajet, Alice repensait à tous les bons moments qu'ils avaient passés tous les 4, les fous rires quand Paul ou Ada raconter des bêtises. Ce qui était sûr, c'est qu'ils formaient une belle-famille, la juge n'avait même pas fais attention au feu rouge et rentra dans la voiture de devant. Alice sortit de la voiture pour voir s'il n'y avait pas de blesser et si les voitures n'avaient rien, heureusement personne n'avait était blesser et les voitures n'avaient pratiquement rien. Ensuite, après un constat, tout le monde reprit sa route. La juge arriva au bout de 20 minutes à la brigade un peu agacé, elle se dirigea vers le bureau de son commandant.

Alice arrivant surprise de voir Madame Bosc : Madame Bosc qu'est-ce que vous faites là ? Ça ne vous a pas suffi de m'enlever Ada ? Il faut en plus que vous arrêtiez mon mari ?

Madame Bosc : Madame Nevers j'y suis pour rien dans l'arrestation de Monsieur Marquand... J'ai essayé de défendre, vous défendre, mais le procureur n'a rien voulu entendre... Et concernant la jeune Ada ce n'est que provisoire dès que nous aurons réussi à prouver que Monsieur Marquand n'a rien fait, Ada retournera chez vous !

Alice regardant Djibril : Bon alors Djibril le laboratoire à renvoyer les résultats ?

Djibril : Non Madame le juge, mais il y a peut-être une chance de prouver que Marquand n'y est pour rien. 3 jours avant votre mariage Léa à retirer 200 euros et la versait sur un compte, mais bien sûr nous ne savons pas qui...

Madame Bosc : Évidemment ça serait trop simple... N'oubliez pas que Léa est flic, elle connaît nos méthodes...

Alice : Madame Bosc à raison... Il faut qu'on soit plus malins qu'elle pour avoir une chance de la coincer... Bon Djibril lancer une recherche sur ce fameux compte bancaire... Ce compte bancaire et notre dernière chance de coincer Léa avant qu'elle ne quitte la France.

Ils se replongèrent alors dans l'enquête même si celle-ci semblait être plus compliquée que prévu. Effectivement, Léa était vraiment très maligne et n'avait laissé aucune trace derrière elle, la juge essayait de trouver le moindre indice qui pouvait faire tomber Léa, mais rien... Alice commençait à désespéré de faire sortir un jour Marquand de prison. Elle savait que Marquand n'y était pour rien, mais il fallait le prouver et pour l'instant les enquêteurs ne trouvaient rien. Il était temps pour Alice de rentrer chez elle retrouver son père et son fils, après avoir salué tous ses collègues Alice entra chez elle.

Quand elle arriva chez elle, Paul riait aux éclats avec son grand-père ce qui fit sourire la juge, elle déposa ses affaires dans le hall avant d'aller rejoindre Paul et Jacques qui étaient dans le salon. Dès que le petit garçon s'aperçoit que sa mère est là, il courut dans ses bras heureux de la voir. Alice serra son fils dans ses bras puis elle se dirigea vers son père pour l'embrasser.

Une vérité qui fais mal...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant