Chapitre 1: La fuite...

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Alors qu'Alice et Marquand venaient de s'enfuir de Paris. À la Mairie, c'était la panique, il avait fallu appeler les pompiers pour Joséphine qui avait fait un malaise, Madame Bosc Djibril et Victor essayé de comprendre ce qui venait de se passer. Les pompiers venaient d'arriver sur place pour prendre Joséphine en charge.

Madame Bosc :
Si nous ne trouvons pas de preuves comme quoi c'était un faux. Monsieur Marquand devra aller en prison ! Et Ada retournera en foyer
Victor :
Enfin Madame Bosc ! Le commandant n'a pas pu épouser quelqu'un d'autre que Madame le juge. Il est fous amoureux d'elle !
Madame Bosc :
Mais comment j'ai pu ne pas y penser ! Sur le papier d'adoption d'Ada, il y a la signature de Madame Nevers et de Monsieur Marquand. Il suffit de comparer la signature du commandant sur l'acte du mariage, et sur le papier d'adoption d'Ada.

Pendant ce temps-là loin de Paris. Une voiture roulait depuis maintenant plus d'1 : 00 Marquand était concentré sur la route. Alice, elle avait les larmes aux yeux tout se bousculer dans sa tête. Et si Marquand c'était marié avec Léa ? Et s'il ne voulait pas d'une vie de famille avec elle ? Une larme coula le long de sa joue qu'elle écrasa avec son doigt. Les enfants eux dormaient depuis plus de 20 minutes Alice regarda Ada les larmes aux yeux. Marquand posa sa main sur sa cuisse.


Alice les yeux remplit de larmes : Qu'est-ce qu'elle va devenir Fred si elle retourne au foyer ? Je lui avais promis qu'elle pourrait rester avec nous.
Marquand posant la main sur sa cuisse :
Je ne peux pas de garantir à 100 % que tout se passera bien. Mais je te jure que je vais faire tout ce qui en mon pouvoir pour qu'Ada reste avec nous. Et dès que cette histoire est réglée, je te promets que tu auras un mariage de princesses.
Alice essayant de ne pas pleurer :
Voyons Fred ! On ne pourra jamais prouver que c'est un faux. Que tu n'as pas épousé Léa ! Elle a du tout prévoir je te rappelle qu'elle est de la maison.

Marquand venait de s'arrêter, Alice se détacha et sortit de la voiture. Le vent venait fouetter son visage, elle s'éloigna de la voiture pour pouvoir craquer. Elle ne voulait pas que les enfants la voient dans cet état. Là, elle pouvait craquer personne ne pouvait la voir, Marquand regarda sa belle. Il se sentait coupable, comment il avait fait pour se laisser embobiner par Léa ? Il décida d'aller rejoindre la juge. Il prit Alice dans les bras, la juge pleurée elle n'arrivait pas à ce calmé. Marquand serra sa belle contre lui tout en surveillant les enfants dans la voiture. Ensuite, après qu'Alice se soit calmée, ils retournèrent dans la voiture Paul venait de se réveiller.

Paul se frottant les yeux :
Maman ? On est où ? Pourquoi on est parti de Paris ?
Alice essayant de rassurer son fils :
Ne t'inquiète pas mon Paulo. Léa à fait croire qu'elle était mariée avec parrain donc on va vivre un moment loin de Paris.
Paul regardant son parrain et sa mère :
Mais on va aller vivre où ?
Marquand rassurant Paul :
Ne t'inquiète pas mon Paulo. Nous allons aller en Italie. Là où j'ai grandi.
Marquand prit la direction alors de l'Italie là au moins personne ne viendra les chercher et ils pourraient se reposer et réfléchir comment prouver que c'était un faux certifia de mariage. Il était 21 : 00 quand ils arrivèrent sur les côtes italiennes. Il restait encore une heure de route avant d'arriver dans la maison de son enfance.


Au bout d'1 : 00 ils arrivèrent devant une magnifique villa, Alice était émerveiller face à la villa. Elle était très grande et très jolie, Marquand descendit de la voiture pour porter Paul qui dormait comme un bien heureux. Marquand entra dans la villa suivit d'Alice et Ada, la vue donner sur la mer c'était magnifique.

Marquand : Alice. Je vais coucher les enfants et j'arrive d'accord ?
Alice embrassant son fils sur la tête : d'accord mon amour. Je t'attends avant d'aller me coucher.

Alice profita que Marquand aille coucher les enfants pour aller sur la terrasse. Elle s'appuya sur le rebord de la terrasse et regarda au loin. Elle entendait le bruit des vagues. Le vent qui venait doucement caresser son visage... Tout doucement, elle ferma les yeux et resta là à écouter le bruit des vagues. Le bruit du vent qui venait caresser son visage. Elle oublia quelques instants tous ses soucis. Elle se vidait la tête. Elle ne pensait à rien. Juste au bruit des vagues qui s'en allait et revenait. C'était comme si elle rêvait. Comme si la mer la transportait loin de ses problèmes. Elle était bien. Elle était détendue. Marquand arriva et passa ses bras au tour de sa taille Alice ouvrit les yeux.

Marquand serrant sa belle :
ça va Alice ?
Alice une larme coulée le long de son visage :
oui. Oui. J'écoutais juste le bruit des vagues. C'est tellement reposant.

Marquand prit Alice dans ses bras et la serre, Alice nicha sa tête dans son cou elle avait peur pour les enfants, pour eux, elle ne voulait pas que Marquand finisse en prison à cause d'elle. Parce que pour elle, s'ils étaient dans cette situation, c'était de sa faute. Elle pleurait Marquand passa sa main sous son pull et caressa le dos de sa belle pour la calmer. Alice finit par se calmer Marquand l'emmena dans la chambre pour qu'elle puisse se reposer. Marquand allongea sa belle sur le lit et s'allongea avec elle. Il la prend dans ses bras et la berça jusqu'à ce qu'elle s'endort. Une fois qu'Alice se soit endormit Marquand la couvre et alla dans le salon.


Il alluma la télé sans vraiment la regarder, il réfléchissait plutôt à ce qui l'allait faire, il était mal, parce qu'il avait peur d'aller en prison Alice se réveilla en hurlant, Fred couru en direction de la chambre, et il la prend dans, ces bras


Marquand : qu'est-ce qui se passe ?
Alice : j'ai fait un cauchemar, j'ai peur

Marquand s'allongea auprès d'elle et la prit dans ses bras. Alice se colla à lui et nicha sa tête dans son cou, elle trembler, elle avait réellement peur. Et là elle ne jouait pas Marquand avait l'impression d'avoir une petite fille dans les bras. Il lui murmuré des mots doux pour la calmer, elle finit par s'endormir ainsi que Marquand. Le soleil était déjà haut quand Marquand entrouvrit les yeux, il prit son téléphone et regarda l'heure, il était déjà 10 : 00, il se retourna ver sa belle, elle dormait comme une belle heureuse.


Il décida de la laisser dormir après la nuit agitée, Marquand se leva sans faire de bruit et alla dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner des enfants. Une fois, le petit-déjeuner prêt Marquand monta en haut les enfants étaient réveiller, ils discutaient. Marquand alla chercher les enfants pour aller déjeuner. Arriver dans la cuisine Paul fut surpris de ne pas voir Alice.

Paul regardant son parrain :
Parrain ? Elle est ou maman ?
Marquand lui faisant un bisou :
Ne t'inquiète pas mon Paulo. Maman dort tu la verras tout à l'heure.


Comme pour rassurer son filleul, Marquand le prit dans ses bras et l'emmena vers leur chambre, il ouvrit la porte. Paul fut rassuré en voyant qu'Alice dormait profondément, Marquand referma la porte pour la laisser se reposer. Marquand et les enfants déjeunèrent Marquand demanda alors aux enfants ce qu'ils voulaient faire. Paul et Ada réclamèrent évidemment la mer et le commandant accepta volontiers. Passé, une journée à la plage en famille pouvait que leur faire du bien.

Marquand envoya les enfants se préparer pendant qu'il préparait un pique-nique. Passé, une journée à la plage en famille pouvait que leur faire du bien. Marquand gémit, elle l'embrassa langoureusement et s'éloigna. Marquand voulut rattraper sa belle, mais les enfants arrivèrent à ce moment-là. Dès que Paul voit sa mère, il lui sauta dans les bras content de la voir Marquand s'approcha de la juge.

Marquand dans son oreille :
Ça va se payer ça Madame le juge !
Alice souriant :
Je ne vois pas de quoi vous parler commandant ! (à Paul) Ça va mon chat ? Tu as bien dormi ?
Paul l'embrassant sur la joue : oui maman. Tu sais ce qu'on va faire aujourd'hui ?
Alice :
Non je ne sais pas. Et toi, tu le sais ?
Paul content :
Ouiiii. Parrain nous emmène à la plage. Pour une journée détente

Alice adressa un sourire à son commandant comme pour le remercier. Ils avaient tous besoin de se reposer avant de rentrer à Paris et d'être confronté au problème Léa, car oui, Léa était un obstacle pour leur amour. Ensuite, ils se dirigèrent tous ensemble vers la plage, c'était partit pour une journée détente pour tout le monde au bord de la mer. Arriver à la plage Paul et Ada avait qu'une envie, c'était d'aller se baigner ils ne tenaient plus en place. Surtout Paul qui n'avait jamais vu la mer au paravent. Alice mit de la crème à Paul et Ada pour éviter les coups de soleil, car le soleil tapé fort et laissa Paul et Ada aller dans l'eau avec le commandant. Pendant que le commandant s'amuser avec les enfants Alice elle s'allongea sur sa serviette et ferma les yeux quelques instants. Elle se mit à rêvasser, elle se voyait avec Marquand au bord de la mer avec un bébé dans les bras leur fruit de leur amour. Paul et Ada jouant sur le sable devant eux. Alice s'endormit avec le sourire aux lèvres.


Quand Marquand reviens avec les enfants Alice dormait à point fermer un sourire béat sur son visage. Marquand demanda aux enfants d'aller jouer le temps qu'il réveille Alice pour pouvoir manger. Il attendit que les enfants soit un peu plus loin et commença à embrasser Alice dans le cou il descendit sa main vers son entre jambe et la caressa tendrement. Alice commença à émerger mais ne bougea pas pour profiter de cet instant. Marquand continua pendant de long minutes Alice ouvrit les yeux.

Marquand souriant : alors Madame le juge à quoi vous rêviez ?
Alice l'embrassant tendrement : A nous mon amour. Je nous imagine ici sur la plage avec Paul et Ada. Et j'avais un bébé dans les bras. Notre bébé.
Marquand l'embrassant à son tour : Très beau rêve. On n'en reparle dès qu'on n'est tous les deux car là il y a deux montres qui ont faim.

Effectivement les enfants c'était approcher du couple en disant qu'ils avaient faim. La petite famille déjeuner Paul et Ada faisait les clowns ce qui faisait rire le couple. Après le repas les enfants demandèrent si ils pouvaient aller jouer sur le sable Alice accepta. Les enfants partirent jouer. Alice s'allongea sur sa serviette Marquand se mit sur elle et commença à l'embrasser tout en la caressant. Il faisait attention à que personne ne les vois

Marquand: on va dans l'eau, pour continuer ?
Alice: avec plaisir
Ils allèrent dans l'eau tous en surveillant les enfants, Alice s accrocha a Marquand et commença à l'embrasser et a le caresser Marquand avais sa main sur le sexe de sa belle, il bouger c'est doigt en elle, ce qui la fait frémir, Alice avais aussi sa main sur le sexe de Marquand, elle la bouger encore et encore
Alice: mais toi en moi.
Marquand: avec plaisir mon amour.

Il positionne Alice correctement et il entra en elle, ils gémissaient tous les deux, elle commence à bouger de plus en plus vite, ce qui fit sourire Marquand, ils gémissaient de plus en plus fort, Marquand mis quelque coup de rein, qu'ils les envois tous les deux au 7ème ciel. Il était 18 : 00 il commençait à faire frisquet sur la plage, Alice et Marquand décidèrent de rentrer à la villa ils appelèrent les enfants pour rentrer.

Pendant le trajet Alice se demandait comment il allait pouvoir prouver que c'était un faux certificat de mariage, elle avait peur pour les enfants, peur pour elle et surtout pour Marquand. Elle avait les larmes aux yeux mais elle essayait de ne rien laisser paraitre devant les enfants, Marquand voyait bien qu'Alice était à bout de nerf mais malheureusement il ne savait pas comment faire pour la rassurer car lui-même était sur de rien. Arriver dans la villa Alice se dirigea dans la chambre pour s'enfermer et enfin craquer.

Paul regardant son parrain : Pipou elle à quoi maman ?

Marquand : Maman est fatiguée c'est tout ne t'inquiète pas mon Paulo, alors maintenant tu vas aller prendre ta douche et après on mangera d'accord ?

Paul : D'accord Pipou

La jeune Ada avait bien comprit ce qu'il se passait, elle prit la main de Paulo et monta avec lui pour laisser Marquand aller rejoindre Alice qui pleurer à chaude larme dans la chambre. Marquand entra donc dans la chambre, Alice était allonger de dos mais Marquand pouvait entendre Alice renifler sa lui faisait de la peine de la voir comme ça, il culpabiliser il se disait au fond de lui que peux être qu'Alice serait plus heureuse sans lui. Il s'approcha de sa juge qui ne c'était pas calmer le commandant s'allongea prêt d'elle et la prit dans ses bras.

En sentant le bras de son commandant Alice se retourna face à lui mais sa tête était baissée, elle avait les larmes qui coulaient à flop elle pleurait toujours. Marquand passa ses doigts sur ses joues de sa juge pour effacer les larmes qui perlaient sur son visage, Alice releva la tête elle croisa le regard de son commandant, un regard bleu azur comme l'océan elle pouvait s'y noyer pendant des heures et des heures.

Marquand : Je vais aller préparer à manger, tu viens manger avec nous ou pas ?

Alice : Non Fred j'ai pas faim, je vais plutôt rester ici me reposer.

Marquand embrassa sa juge sur la joue et se dirigea vers la cuisine pour laisser Alice dormir, Marquand prépara à manger avant d'appeler les enfants pour passer à table. Le repas se passa dans le calme le plus totale, Marquand n'avait pas le cœur à rire ni même à plaisanter et les enfants l'avaient bien compris. Le repas terminer Marquand monta avec les enfants pour aller les couchers. Ils resta quelques minutes auprès d'eux à les contemplés sa décisions était prise il allait partir.

Ensuite Marquand descendit dans le salon, il attrapa un crayon et une feuille et commença une lettre pour Alice. Une fois que la lettre fut écrite Marquand la déposa sur la table bien en évidence, il se dirigea une dernière fois vers la chambre. Alice dormait comme une bien heureuse il rentra dans la chambre sans faire de bruit, il s'approcha d'Alice et l'embrassa tendrement avant de sortir de la chambre sur la pointe des pieds. Il prit juste les clés de la voiture et s'en alla...



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