Chapitre 14 : L'espoir reviens

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Le lendemain matin 7 : 00 le réveil sonna Alice souffla, elle n'avait pas envie de se lever. Mais il fallait qu'elle se lève, car il y avait une enquête en cours. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une bonne douche chaude pour se réveiller avant de rentrer dans sa chambre et s'habiller. Au bout de 20 minutes, elle était prête maquillée et habiller avant de prendre la direction de la cuisine pour préparer le petit-déjeuner pour son fils et sa nièce. Manon arriva quelques minutes bien habiller et bien maquillé elle était magnifique. Elle ne s'était pas habillé comme ça depuis des années, car à chaque fois sa mère l'insulter ou elle l'humilie alors qu'elle savait qu'avec Alice, il n'y avait rien à craindre et elle le savait. La juge proposa alors à sa nièce d'aller manger toutes les deux le midi ce que la jeune fille accepta. Passer du temps avec Alice ne pourrait pas lui faire de mal. Paul arriva quelques minutes après son doudou contre lui, il tendit les bras à Alice.

Après avoir fait un câlin à son petit garçon Alice devait y aller pour aller interroger Nicolas Rousseaux. Elle demanda à Manon si elle pouvait emmener Paul à l'école avant d'aller en cours ce que la jeune fille accepta. Alice embrassa les enfants avant de prendre ses clés et de sortir de l'appartement. La juge prit sa voiture, elle mit un CD avant de démarrer pour se diriger vers la brigade, mais il y avait des bouchons dans la capitale au vu de l'heure qu'il était. Ce qui agaça un peu Alice, mais elle avait l'habitude. Au bout de 20 minutes de bouchon, Alice arriva enfin devant la brigade. Kadiri se dirigea vers la juge pour lui expliquer que Nicolas Rousseaux était dans la salle d'interrogatoire qu'il attendait... Alice et Djibril passèrent tout d'abord à la machine prendre un café avant de se diriger vers la salle d'interrogatoire.

Alice entrant dans la salle :
Bonjour Nicolas je suis Alice Nevers juge d'instruction (montrant Djibril) Et voici le lieutenant Djibril Kadiri nous sommes en charges de l'affaire de Marilou Lefort.
Nicolas arrogant : Ouais et alors ? Qu'est-ce que vous voulez que ça me foute ?!
Djibril déposant le dossier : Et alors mec elle a était assassiné et tu es suspect. Alors si j'étais toi, je parlerais plus gentiment à Madame le juge !
Nicolas regardant la juge : Je n'ai rien fait moi Madame le juge ! Cette fille, je ne la connais pas très bien !
Alice : Pourtant son père nous a dit qu'elle traînait avec vous ! Alors expliquer nous comment ça se fait que son père nous ai dit ça si ce n'ait pas le cas ?
Nicolas l'air arrogeant : Je ne sais pas Madame le juge ! Il essaye peut-être de nous accuser pour éviter que vous cherchiez dans leur vie privée ! Je ne pourrais pas vous en dire plus...
Djibril : Si vous le dites ! En attendant, vous étiez ou hier matin entre 7 : 00 et 7 : 30 ?
Nicolas : Chez moi mais personne ne peut le confirmer ! Et je ne vois pas pourquoi j'irais tuer quelqu'un que je connais à peine.
Alice : D'accord. Bon, vous pouvez repartir, mais vous devez rester à la disposition de la justice et de ne pas quitter Paris durant l'enquête !

Nicolas ne répliqua pas et sortit de la brigade à toute vitesse pour pouvoir appeler Ludovic. Alice et Djibril eux vont dans le bureau du commandant pour pouvoir essayer d'élucider cette enquête. Il était temps pour notre juge de prendre sa pause déjeuné et d'aller manger avec sa nièce comme elle lui avait proposé le matin même. Alice dit à Kadiri qu'il pouvait prendre sa pause et qu'elle serait là vers 14 : 00. Elle sortit de la brigade avant de rejoindre Manon qui l'attendait pour pouvoir manger.

Manon attendait Alice depuis 5 minutes quand la juge arriva, la jeune fille s'approcha d'Alice pour l'embrasser avant d'aller à un restaurant pour manger. Les deux filles étaient heureuses de se retrouver après temps d'année de séparation à cause d'une dispute idiote. Nièce et tante discutèrent de tout et de rien. Une complicité commençait à naître entre les deux filles. Mais le moment fut trop cours au goût des deux filles effectivement Alice devait retrouver à la brigade et Manon en cours. Elles se séparèrent Alice en profita pour aller à la pharmacie pour prendre un test de grossesse et rejoint Kadiri à la brigade. Quand elle arriva, le président du tribunal était là.

Alice inquiète : Monsieur le président mais qu'est-ce que vous faites là ? Il y a un problème ?
Le président : Madame le juge j'ai reçu un appel de Monsieur Renoir. Il aimerait que vous arrêtiez de persécuter son fils et son copain !
Alice : Mais Monsieur le président je suis en charges d'une affaire.. Une gamine de 16 ans est morte ! Donc je n'ai pas l'intention de laisser l'assassin de cette gamine en liberté. Que ça plaise ou non.
Le président essayant de calmer la juge : Je ne vous demande pas d'abandonner l'enquête. Seulement de faire attention, car on marche sur des œufs...

La juge ne répondit pas elle acquiesça juste la tête pour lui faire comprendre qu'elle ferait attention, le président retourna au Palais pour laisser Alice et Djibril travailler. Alice souffla dès que le président était parti, elle en avait marre de cette enquête. En plus, le manque de son homme commençait à se faire ressentir... Elle espérait pouvoir en terminer rapidement cette enquête pour pouvoir se consacrer à Marquand. Djibril s'approcha de la juge qui était dans ses pensées, il y avait du nouveau sur les parents de la victime. Kadiri lui expliqua que la famille n'avait rien à se reprocher. Alice venait de recevoir le rapport du légiste par SMS Marilou avait eu un rapport quelques heures avant sa mort.

Alice dit à Kadiri qu'ils vont voir les parents peux être qu'ils seraient quelques choses. Kadiri et Alice sortirent de la brigade avant de prendre la voiture d'Alice pour aller chez les parents en espérant en découvrir un peu plus. Pendant le trajet Kadiri demanda des nouvelles de Paul, Alice répondit que le petit garçon allé bien même s'il réclamait son père. Les deux enquêteurs étaient déjà arrivés alors Alice et Djibril sortirent de la voiture avant d'aller sonner chez les parents. Et c'est la mère qui ouvrit la porte les deux enquêteurs étaient choqués elle avait des traces de coups partout sur le visage. La mère de la victime laissa entrer la juge et le lieutenant dans le salon.

La mère : Bonjour Madame le juge. Lieutenant, vous avez retrouvé l'assassin de ma fille ?
Alice s'approchant de la mère : Non pas encore Madame mais nous cherchons (montrant les bleus) c'est votre mari qui vous a fait ça ?
La mère baissant la tête : Oui. Peu après que nous sommes rentrés de la brigade, il a commencé à me tabasser en me disant que c'était de ma faute si notre fille était morte. Alors il m'a dit que j'allais aller la retrouver...
Djibril : Il faut que vous portiez plainte à la brigade. Sinon il va recommencer et ça sera pire qu'avant... Et on va vous emmener à l'hôpital pour qu'ils puissent vous examiner...
Alice : Madame le lieutenant Kadiri à raison. Il faut nous suivre pour qu'on vous mette à l'abri...

La mère de la victime finit par accepter de suivre la juge et le lieutenant. Elle accepta même d'aller à l'hôpital pour se faire examiner par un médecin. Ils arrivèrent 20 minutes après à l'hôpital Madame Lefort suivi les deux enquêteurs jusqu'à l'accueil ou Alice se présenta. Madame Lefort fut très vite prise en charge par un médecin qui était spécialiste dans les violences conjugales. Alors qu'Alice et Kadiri attendaient dans la salle d'attente le médecin qui s'occuper de Marquand passa à proximité d'Alice.

Même si Alice était là pour le professionnel, elle ne put s'empêcher d'aller le voir pour lui demander des nouvelles de son mari. Le médecin lui dit qu'il avait bougé ses doigts et qu'il pouvait respirer seul, il était en train de se réveiller, mais qu'il fallait encore du temps avant qu'il y ait un réveil total. Le visage d'Alice s'illumina à l'annonce du médecin après 2 jours de coma Marquand allait se réveiller d'ici quelques jours. Madame Lefort arriva avec le médecin qui l'avait examiné... Il tendit son rapport à la juge avant de les laisser repartir à la brigade. Pendant le trajet qu'ils les amenaient à la brigade Alice discutait avec la mère.

Alice tout en conduisant : Madame Lefort depuis quand votre mari vous battait ?
Madame Lefort : Depuis la naissance de Marilou... Il voulait un garçon...
Djibril : C'était ça qui à déclencher la violence de votre mari ?
Madame Lefort : Oui. Mais ce n'est pas tout, il me menaçait si je ne me laissais pas faire, il violerait Marilou...
Alice choquée : Mais... Mais pourquoi vous n'avez pas porté plainte à l'époque ?
Madame Lefort craquant : J'avais peur... Il disait toujours que si jamais je portais plainte, il nous retrouverait et nous tuerait...
Djibril : Vous pensez que c'est lui qui aurait pu la tuer ?
Madame Lefort : Je ne sais pas lieutenant mais c'est possible... Mais qu'est-ce qu'il va se passer pour moi maintenant ?
Alice : Vous allez porter plainte et ensuite je vous placerais sous protection judiciaire pour éviter qu'il recommence. Ne vous inquiétez pas, on sera là si jamais il y a un problème.

Ils arrivèrent à la brigade au bout de 30 minutes, Alice et Kadiri emmenèrent donc la mère de la victime au bureau du commandant pour pouvoir prendre sa plainte. La mère de la victime avait du mal à parler de l'enfer qu'elle vivait depuis la naissance de sa fille, mais pourtant, c'était nécessaire si elle voulait être enfin tranquille. La juge aidait Madame Lefort comme elle pouvait. La plainte venait d'être rempli quand Manon arriva avec P'tit Paul dans les bras qui était heureux de retrouver sa mère.

Après un câlin a Paul Alice demanda à Manon de rester là avec le petit garçon le temps qu'elle appelle le président pour pouvoir mettre Madame Lefort. Elle s'éloigna quelques minutes avant de revenir pour demander à Kadiri de rester avec la mère de la victime le temps qu'on retrouve Monsieur Lefort. Une fois qu'Alice était sûre que Madame Lefort soit en sécurité pour pouvoir rentrer chez elle avec les enfants.

Alice : Bon les enfants vous allez vous laver les mains pendant que je prépare le goûter. Et ensuite, on fait les devoirs pour être tranquille.

Les enfants allèrent se laver les mains avant de prendre leur goûter. Ensuite, Alice s'installa au côté de Paul pour l'aider dans ses devoirs pendant que Manon se débrouiller toute seule pour les faire. Les devoirs terminés, il était temps d'aller à la douche pour les enfants pendant qu'Alice préparer le repas. Le repas était prêt, Alice appela les enfants pour passer à table. Et c'est dans la joie et la bonne humeur que le repas se passa. Alice avait annoncé aux enfants que Marquand était en train de se réveiller. Paul était tout heureux de savoir que son papa était sur le point de se réveiller.

Le repas venait de se terminer Alice demanda aux enfants d'aller se brosser les dents pendant qu'elle débarrassait la table. Une fois la table débarrassée Alice monta tout d'abord embrasser Manon avant de se diriger vers la chambre de son fils pour lui lire une histoire. 21 : 00 les enfants étaient couchés et endormit Alice pouvait enfin se coucher après une journée épuisante. Et c'est le sourire aux lèvres qu'Alice tomba aux pays des rêves. 

Une vérité qui fais mal...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant