Chapitre 21 : Je t'aime mon amour...

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Alice se réveille dans une chambre assez sombre et elle est attachée. Elle se demande où elle se trouve et qui est l'a enlevé.... Elle espérait que Marquand allait la retrouver... Une femme entra dans la chambre. Elle avait une cagoule et s'approcha d'Alice... La juge commença à paniquer, elle aurait bien voulu hurler et donner des coups de pied. Mais elle ne pouvait pas... Elle était attachée à ce lit et ne pouvait rien faire... La femme s'amusait de la situation. Elle pouvait enfin se venger... Cette femme lui avait volé l'homme dont elle était follement amoureuse juste pour pouvoir adopter une gamine... Pour la première fois, Alice avait peur... Peur de ne plus jamais pouvoir serrer son petit garçon dans ses bras. Ne plus pouvoir l'entendre son rire... Mais elle avait aussi peur de ne pas être là pour Ada... Léa regarda Alice un grand sourire aux lèvres elle allait la laisser à un homme qui allait bien s'occuper d'elle.

Du côté de Marquand, il était à peine 7 : 00 quand le commandant se réveilla, il se leva... Il prit la direction de la salle de bain sans grande conviction. Alice lui manquait et il ne savait pas où elle était... Ni même si elle était vivante. Il espérait qu'une chose, c'est qu'elle aille bien. Une fois, sa douche prise Marquand s'habilla et se dirigea vers la cuisine pour préparer le petit-déjeuner des enfants. Les deux enfants arrivèrent, ils disent bonjour au commandant avant de s'installer devant leur petit-déjeuner. Marquand se prépara un café tout en surveillant les enfants quand son téléphone sonna, c'était Kadiri.
Marquand décrochant :
Ouais Kadiri !
Djibril surexcité : Commandant ! Commandant j'ai retrouvé Madame le juge...
Marquand souriant : T'es géniale Kadiri ! Bon, je dépose les enfants à l'école et j'arrive en attendant prépare une équipe.

Marquand raccrocha et rangea son téléphone avant d'avaler en quatrième vitesse son café. Ensuite, il demanda aux enfants d'aller chercher leur sac pour aller à l'école. Une fois les enfants et Marquand prêt, il prit ses clés et sortirent de l'appartement. Le commandant déposa les enfants et prit la direction de la brigade rejoindre son lieutenant. L'équipe était déjà prête quand Marquand arriva dans son bureau. Il n'y avait plus une minute à perdre, il fallait se dépêchait. Il ne savait pas dans qu'elle, état était sa juge, mais il voulait la récupérer en vie. Les deux équipes sortirent donc de la brigade et prirent la direction de l'autre côté de Paris ou se trouver Alice. Ils arrivèrent 20 minutes après le commandant espérait qu'il ne soit pas trop tard et que sa belle aller bien.

Marquand ainsi que toute l'équipe s'installèrent tout autour de la maison, il y avait des snipers pour pouvoir protéger au maximum les policer sur place. Une fois que toutes les équipes étaient enfin prête Marquand défonça la porte avant de rentrer arme à la main. Léa avait entendu du bruit elle se leva, mais elle nu pas le temps de faire quoi que ce soit que Marquand était déjà devant elle. Le commandant mis quelques minutes à la neutraliser Marquand monta à l'étage toujours sont arme à la main. Il entendit des cris provenir de l'une des chambres, il avait reconnu les hurlements d'Alice. Il monta les marches encore plus vite pour arriver en haut le commandant se précipita dans la chambre ou parvenait les cries. Mais quand le commandant entra dans la chambre la scène qui se passait devant ses yeux avait fini de le mettre en colère. Il brandit son arme vers lui prêt à tirer, mais malheureusement s'il tirait, il risquait de toucher sa juge. Il appela son lieutenant sans pour autant lâcher l'homme du regard. Une fois Kadiri là le commandant s'approcha de sa juge.
Marquand : Alice... Alice s'il te plaît reste avec moi (les larmes aux yeux) J'ai besoin de toi.... Les enfants ont besoin de toi... S'il te plaît, mon amour reste avec moi.

Alice lâcha un soupir avant de tomber dans l'inconscience... Marquand hurla de toutes ses forces, il ne pouvait pas y croire... Non pas elle... Elle ne pouvait pas le laisser... Il avait besoin d'elle... Kadiri avait entendu les hurlements de son supérieur, il décida de monter pour voir ce qu'il se passait. Quand il arriva à la hauteur du commandant, il découvrit un autre homme... Le commandant avait le regard meurtri tenant sa femme dans ses bras... Ni une ni deux le lieutenant appela le SAMU en leur demandant de se dépêcher et il raccrocha... Le lieutenant se rapprocha de son supérieur. Il déposa sa main sur son épaule et lui dit que les secours arrive le plus vite possible le commandant lâcha un faible merci avant de le laisser partir. Le SAMU arriva et ils se dirigèrent vers la juge pour l'occulter.

Une vérité qui fais mal...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant