Chap 1: Que de la perte

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PDV Externe :


- Pourquoi on regarde encore les infos ? Ronchonne Gringe.

- Parc'que j'veux savoir l'hisoire de la meuf. Réplique Orel.

- J'm'en fous un peu de ça vie pour être franche. Avoue le grincheux.

- Bah dort et ferme là, j'écoute. Ordonne presque le plus jeune montant le son de la télé.

- « Melody, va être jugé demain pour savoir ça duré de prison. Pour ceux qui n'était pas là, et qui n'en on pas entendu parler... »

- Voila, il répête toujours les mêmes choses. On le sait tout ça. S'énerve celui au bonnet.

- Ta gueule, ils disent un truc.

- « Voila, la grand-mère de Melody qui a voulu parler de sa petite fille.

      -  Elle n'a peut-être pas toutes les qualités, mais elle n'a pas autant de défaut qu'on lui reproche. Elle à peut-être un regard bien à elle, mais derrière celui ci ce cache un peu de gentillesse. Elle m'a toujours aidé dans quoi que ca soit. J'espère qu'elle va s'en sortir. Le problème c'est que j'ai déjà vu son père, mais je ne me rappelle plus comment il s'appelle. Donc si, son père, tu sais que c'est ta fille, vient l'aider, vient la chercher, elle à juste besoin du réconfort de son père. »

- Faut vraiment être un salaud pour pas connaître sa fille. Sortit Aurélien, s'affalant de le canapé, plus qu'il l'était déjà.

- Ouais, mais après il a p't-être ces raisons.

- Ouep. Pizza ?

- Ouep.


Orelsan prit son portable et commanda des pizzas.

PDV Fannie (grand-mère de Melody) :

J'espère que Melody va bien, que la nourriture là-bas n'est pas si mauvaise, que personne ne l'embête. Et dire que sa mère, ma fille est dans le coma. Si au moins je me rappelais du nom du père, je ne me rappelle que de son visage, mais aucun nom se pose dessus. Je rentre dans l'enseigne de l'hopitâl Ballanger. Je me dirige vers la chambre où Alicia est couchée. J'arrive à coté de son lit et je pose ma main sur la sienne.


- Coucou chérie, je ne sais pas si tu le sens, mais j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, je préfère te l'annoncer tout de suite, pour que ça n'a te face pas un trop gros choque à ton réveil. En parlant de lui, tu le prévois quand, car s'il te plait, je ne pourrais pas seule aider Melody.


Je m'assois à coté d'elle sur le lit, et respire un bon coup avant de regarder la salle ou elle se situe. Je sens des doigts me toucher la main et je me retourne d'un coup.


- Alicia !

- Je....vais... te dire... son père... elle doit le savoir...

- Repose toi, tu me le diras après.

- Non... Tout de suite.... Passe... moi une... feuille et un crayon....


Je fais ce qu'elle me dit et quand elle sent la feuille de papier elle ouvre doucement les yeux et écrit la personne qui est le géniteur de Melody. Elle me passe ensuite la feuille et referme les yeux. Elle me tient la main et je sens celle-ci se crisper. La machine qui prend sa respiration, commence à biper. Non ce n'est pas possible.


- Alicia ! Alicia ! Alicia !


Les infirmières arrivent et m'ordonnent de sortir. Non ! Ce n'est pas possible, pas elle !



Désolé le chapitre est court, mais c'est que le début, les prochains seront plus long. J'espère qu'il vous aura plus.


Ame paternelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant