*Tu sais que 72% de la planète est recouverte d'eau.*
Pourquoi tu m'dis ça ?
*Comme ça, ça peut toujours te servir.*
Mouais
*Garde ça dans ta tête, ça rentrera dans un texte.*
- Mel !
- Mais t'es obligé de m'intérrompre à chaque fois dans mes pensées ?
- Là, c'est pas pour le parloir, mais cette aprem, tu vas recevoir une colocataire.
- Oh chouette.
- Cache ta joie.
- Ouais, tu vois, j'ai du mal.
- Bon j'te laisse, j'voulais juste te prévenir.
- Bah cool.
*Tu vas la tuer ?*
Bah nan, pourquoi j'f'rais ça ?
*Car t'es en manque de violence.*
Qui t'as dis ça ?
*Dois-je te rappeler que j'suis dans ta tête, et je sais toute t'es pensées les plus cachées ?*
Mouais, mais j'vais pas la tuer, du moins pas tout de suite.
*Elle pourra t'aider à t'enfuir.*
J'ai pas besoin d'aide.
/.../
- Bon rentre Alice.
- Et si j'veux pas ?
- T'as pas l'choix.
La meuf rentre, et John me fais un regard, du genre qu'il à déjà envie d'l'égorgé. Il referme la porte derrière elle. On s'observe, mais elle, avec un regard supérieur, j'aime tellement pas les gens comme ça.
- T'es là pourquoi ? M'demande-t-elle prête à répondre que elle c'est pire.
- Change de ton, sinon j't'encule.
- Et tu comptes faire comment ?
Je m'approche d'elle violament et l'attrape par la chatte.
*Oh, j'aime ça.*
Ferme là.
- Tu veux vraiment savoir ? Lui demande-je avec un mauvais sourire.
- Bah oui sinon j'te poserait pas la question.
- Montre ton jolie p'tit cul, ma salope.
- Et si j'veux pas ? Continue t-elle sur le même tont prétentieux.
J'la plaque ventre contre un mur et approche ma tête de son oreille.
- Sois tu changes de tont, sois j't'encule.
- Vas-y, tu n'es pas cap.
- Bah, prend ton souffle.
J'lui fais un bisous derrière l'oreille et descend son pantalon.
- Dernière chance.
- T'as pas les couilles.
- C'est toi qui en aura plus après.
(Scène pouvant heurté la sensibilité de jeune personne)
J'baisse sa culotte et approche ma main de son trou. J'commence à le caresser.
- Bon, j'peux juste te dire, prend ton inspiration.
J'lui rentre trois doigts, d'un coup ce qui la fait hurler. J'bloque sa bouche de mon autre mains, et commence à faire de violent vas et viens. J'rentre ensuite un quatrième doigts. Une larme coule de sa joue.
- Un cinquième ?
Elle fait non de la tête paniqué, et j'lui rentre mon dernier en mettant, toute ma main.
- Fallait pas me défier.
J'lui retire au bout de 5 min et lui crache dessus.
(Scène finis)
- Rhabille toi, et maitenant, fais gaffe à ton cul.
- Ou...ouais...
- Nan, c'est oui. J'lui dis-je en m'lavant les mains.
- Ou... oui chef...
- Chef ? Nan, Mel.
- Oui... Mel.
- C'est bien, ma chienne.
*T'a grave bien géré.*
J'sais.
- Tu prends le lit du d'ssus.
- Ok.
- Maint'nant tu m'écoutes, tu m'le fais à l'envers, t'es morte, ok ?
- Ok.
- C'est bien.
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Ame paternel
Fiction généraleLa fiction se passe en 2017, en janvier plus précisément. Même s'il y a les Casseurs Flowteurs et peut-être d'autre gens connu par la suite, ils ne sont pas les personnages principaux. Orelsan habite à Caen, et n'a pas déménagé sur Paris. Résumé: "...