Chap 6: Colocataire

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*Tu sais que 72% de la planète est recouverte d'eau.*

Pourquoi tu m'dis ça ?

*Comme ça, ça peut toujours te servir.*

Mouais

*Garde ça dans ta tête, ça rentrera dans un texte.*


- Mel !

- Mais t'es obligé de m'intérrompre à chaque fois dans mes pensées ?

- Là, c'est pas pour le parloir, mais cette aprem, tu vas recevoir une colocataire.

- Oh chouette.

- Cache ta joie.

- Ouais, tu vois, j'ai du mal.

- Bon j'te laisse, j'voulais juste te prévenir.

- Bah cool.


*Tu vas la tuer ?*

Bah nan, pourquoi j'f'rais ça ?

*Car t'es en manque de violence.*

Qui t'as dis ça ?

*Dois-je te rappeler que j'suis dans ta tête, et je sais toute t'es pensées les plus cachées ?*

Mouais, mais j'vais pas la tuer, du moins pas tout de suite.

*Elle pourra t'aider à t'enfuir.*

J'ai pas besoin d'aide.

/.../


- Bon rentre Alice.

- Et si j'veux pas ?

- T'as pas l'choix.


La meuf rentre, et John me fais un regard, du genre qu'il à déjà envie d'l'égorgé. Il referme la porte derrière elle. On s'observe, mais elle, avec un regard supérieur, j'aime tellement pas les gens comme ça.


- T'es là pourquoi ? M'demande-t-elle prête à répondre que elle c'est pire.

- Change de ton, sinon j't'encule.

- Et tu comptes faire comment ?


Je m'approche d'elle violament et l'attrape par la chatte.

*Oh, j'aime ça.*

Ferme là.


- Tu veux vraiment savoir ? Lui demande-je avec un mauvais sourire.

- Bah oui sinon j'te poserait pas la question.

- Montre ton jolie p'tit cul, ma salope.

- Et si j'veux pas ? Continue t-elle sur le même tont prétentieux.


J'la plaque ventre contre un mur et approche ma tête de son oreille.


- Sois tu changes de tont, sois j't'encule.

- Vas-y, tu n'es pas cap.

- Bah, prend ton souffle.


J'lui fais un bisous derrière l'oreille et descend son pantalon.


- Dernière chance.

- T'as pas les couilles.

- C'est toi qui en aura plus après.


(Scène pouvant heurté la sensibilité de jeune personne)

J'baisse sa culotte et approche ma main de son trou. J'commence à le caresser.


- Bon, j'peux juste te dire, prend ton inspiration.


J'lui rentre trois doigts, d'un coup ce qui la fait hurler. J'bloque sa bouche de mon autre mains, et commence à faire de violent vas et viens. J'rentre ensuite un quatrième doigts. Une larme coule de sa joue.


- Un cinquième ?


Elle fait non de la tête paniqué, et j'lui rentre mon dernier en mettant, toute ma main.


- Fallait pas me défier.


J'lui retire au bout de 5 min et lui crache dessus.

(Scène finis)


- Rhabille toi, et maitenant, fais gaffe à ton cul.

- Ou...ouais...

- Nan, c'est oui. J'lui dis-je en m'lavant les mains.

- Ou... oui chef...

- Chef ? Nan, Mel.

- Oui... Mel.

- C'est bien, ma chienne.


*T'a grave bien géré.*

J'sais.


- Tu prends le lit du d'ssus.

- Ok.

- Maint'nant tu m'écoutes, tu m'le fais à l'envers, t'es morte, ok ?

- Ok.

- C'est bien.


Ame paternelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant