Remember

Chapitre 2

7: 00 mon réveil sonne, je me lève et je vais à la cuisine pour prendre mon petit déjeuné. Je m'installe à table juste en face de mon père qui n'a pas l'air bien réveillé.

Maman : Mary as-tu réveillé ton frère.

Mary : Non, je vais y aller.

Je me dirige vers la chambre de mon grand frère du moins mon frère jumeau. Je rentre donc dans ça chambre et je me jette sur son lit.

Mary : Ugo Ugo réveille-toi.

Ugo : Non je n'ai pas envie.

Mary : Mais on a notre premier jour de classe et je ne vais pas y aller toute seule.

Ugo : Non pas envie, je t'ai dit.

Mary : Et si je te dis qu'il y aura plein de jolies filles, tu te lèves.

Ugo : Ok, je me lève, mais il faudrait que tu t'enlèves.

Mary : Je ne sais pas.

Ugo : Je compte jusqu'à trois.

Mary : Ok, je me lève.

Je me redirige donc vers la cuisine suivie de mon frère.

Papa : Prêt pour cette journée ?

Mary : Oui.

Ugo : Ouais.

Ma maman pose le petit déjeuné et ni une ni deux le repas est plié. Mais avant de partir notre père nous interpeller.

Papa : Mary n'oublie pas après tes heures de cours. . .

Mary : Oui papa, je n'oublierai pas.

Ugo : T'inquiète pas papa, je l'accompagnerais.

Puis après ces mots, nous quittons donc la maison.

Et direction la station de bus qui nous-mêmes tout droit mon frère et moi à notre nouveau lycée. J'espère que ça va bien se passer. Nous attendons à l'arrêt de bus quand mon frère lance la conversation.

Ugo : Dit moi petite sœur, tu penses qu'il y aura des belles nanas dans notre classe.

Mary : Si on est dans la même classe.

Ugo : Il vaudrait mieux parce que sinon.

Mary : Sinon quoi ?

Ugo : Sinon je n'aurais personne à embêter.

Mary : Dit plutôt que tu serais triste que je ne sois pas avec toi. Je lui dis ça, tout en faisant une petite moue de petit chien battu.

Ugo : Arrêt de faire cette tête dit plutôt que se serais toi qui serais perdu sans moi.

Je lui tire la langue, mais le bus finis par arriver et nous nous installation. Tout le monde nous regarde bizarrement.

Ugo : Dit moi petite sœur ?

Mary : Quoi ?

Ugo : J'ai un truc sur le visage.

Je le regarde avant de lui répondre que non.

Ugo : Alors peux-tu me dire pourquoi tout le monde nous regarde ?

Je lève les yeux vers les autres passagers.

Mary : Tu as raison, j'ai l'impression d'être une bête de foire.

Ugo : Parlons en coréen peut-être qu'ils ne nous regarderont plus.

Je lui fît oui de la tête et nous avons continué notre conversation en coréen et tous les regards qui étaient posés sur nous quelques secondes avant ont tous "disparu".