Le Renouveau - Tome 1 (Percabeth AU)

Chapitre 1 - « Le Golden Boy de Goode »

Cette histoire a été écrite et terminée il y a de cela une éternité maintenant et mériterait une correction intensive. Mais n'ayant pas l'envie et le temps de la faire, je vous demanderai de bien vouloir garder vos commentaires sur les fautes d'orthographe, de syntaxe, de conjugaison ou tout ce que voulez pour vous. Je suis parfaitement consciente qu'il y a de grosses lacunes, mais, honnêtement, je m'en fous. À bon entendeur.

Le lycée. Honnêtement je dois être la seule personne au monde à aimer y aller. C'est vrai, combien d'adolescent de 17 ans qui veulent aller en cours connaissez-vous ? Et bien je fais partie de ces gens. J'aime apprendre, pas seulement pour conserver mes notes qui sont certainement les plus hautes de tout mon lycée, mais parce que je pense que la connaissance est une des choses les plus importantes pour réussir et être heureux dans la vie.

J'aime aussi le lycée parce que je suis avec mes amis. Je suis, ce que vous pourriez appeler, « populaire ». Laissez-moi vous dire que je n'aime pas du tout ce terme. Je ne cherche absolument pas à m'attirer les regards des autres, je préfère rester moi-même et c'est ce qui apparement me vaut le respect des autres. Ça et le fait que ma mère soit l'une des personnalités politiques les plus importantes de New York.

Voyez-vous, mes parents ont divorcé lorsque j'étais encore petite et depuis, ma mère s'est concentrée sur sa carrière et l'on peut qu'elle a réussi. Mon père, quant à lui, a refondé une famille et a eu des jumeaux avec sa nouvelle femme. Il a continué sa vie de professeur universitaire.

De mon côté, Annabeth Chase, je me contentais de garder des résultats parfait tout au long de ma scolarité et d'être la petite fille parfaite pour ne pas gâcher la réputation de ma mère. Je ne suis donc jamais allée en soirée, je n'ai jamais touchée une goutte d'alcool et, très important, je n'ai jamais eu de copain. Bon, je ne pense pas que ce soit entièrement parce que je veux garder une bonne image, mais aussi parce que je porte bien trop d'importance à mes études.

Je suis absolument obsédée par l'architecture et j'aimerai vraiment en faire mon métier plus tard. Pour ça il faut d'abord que je passe par Harvard qui a certainement le meilleur programme d'architecture de tout le pays. C'est donc pour cela que j'ai besoin d'avoir les meilleurs résultats possibles. On en revient par conséquent au lycée.

C'est mon réveil qui me réveilla en sursaut ce matin. C'était le jour de la rentrée, la dernière année avant le début des choses sérieuses. Dire que j'étais excitée serait un euphémisme. C'est donc avec plaisir que je mis une robe noir avec un col blanc et des converses noires en quatrième vitesse et que j'attachai mes cheveux blond en une queue de cheval avant de rassembler mes affaires, de prendre une pomme et de me diriger vers le lycée.

Le lycée n'étant pas très loin de chez moi, j'en profitais toujours pour y aller à pied et passer du bon temps à l'extérieur. En ce début de mois de septembre, l'été n'était pas complètement partis et le soleil réchauffait les alentours. New York était une ville qui était toujours active, de jour comme de nuit et c'était une des choses que j'aimais le plus.

Lorsque que j'arrivai, il me restait environ une demi-heure avant que la sonnerie ne retentisse et que les cours commencent. Je me dirigeai donc d'un pas léger vers mon casier, contente de pouvoir retrouver ce lieu pour une dernière année.

J'étais tranquillement en train d'organiser mon casier de la manière la plus efficace lorsqu'une voix stridente se fit entendre dans certainement tout le bâtiment, « Annabeth ! ».

J'eus à peine le temps de me retourner que quelqu'un m'engouffra dans un câlin à en briser les os. Il n'y avait qu'une seule personne pour agir d'une telle manière, « Hey Pip's ! Ce n'est pas que je ne suis pas contente de te revoir, mais tu me fais suffoquer. » dis-je en rigolant.