Chapitre 8

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Putin! J'ai enfin fini de tout reposter! Alleluia! Doonnnccc.... le chapitre neuf, je dois en avoir ecrit le quart dans cahier de français mais c'est un peu carrément tout pourri donc... ça arrivera quand ça arrivera (trad: Melba pas d'Enfant aux titans, pas de chapitre suivant)

Enfin bref, bonne lecture mes chers lecteurs et que le chakkra soit avec vous (elle est pas mal celle là....)

Ed dormit durant la quasi-totalité des cours. Il répondait juste aux questions qu’on lui posait mais ne cherchait pas à participer. Les professeurs étaient partagés entre l’émerveillement et l’énervement. Le blond était un vrai géni mais il ne semblait pas s’intéresser aux cours. Il ouvrait de temps en temps c’est grands yeux dorés pour regarder l’heure mais il ne faisait pas plus d’effort pour paraître réveiller.

Ils étaient maintenant en cours d’histoire. Edward avait sorti de quoi prendre des notes.  Quitte à être bloqué, autant en savoir le plus possible sur le lieu où ils avaient atterri. Il passa donc le cours à somnoler en écrivant machinalement, utilisant son code personnel par automatisme.

La situation dérapa lorsque le professeur se plaça juste derrière Ed pour voir ce que son nouvel élève écrivait. Le blond, qui était totalement absorbé parce qu’il écrivait ne remarqua sa présence qu’au dernier moment. Sa réaction ne se fit pas attendre. Il se replia sur lui-même et une crise de panique démarra.

Tsuna, qui lui aussi ne suivait qu’à moitié le cours, trop préoccupé par le blond put réagir à la seconde. Il se leva, éloigna le professeur qui était resté paralyser par la réaction de son nouvel élève. Le brun se mit face à l’alchimiste, le prit dans ses bras et entreprit de le rassurer. Il fouilla dans la poche de l’alchimiste et en ressortit son téléphone. Il prit le premier numéro des contacts d’urgence qui se trouvait être le numéro de Mustang. Il lança l’appel et après deux tonalités le haut-gradé décrocha :

« -Roy, il y a une urgence. Ed fait une crise d’angoisse. Commença le plus jeune d’une voix emplie de panique.

-Ça a commencé quand ?

-Il n’y a pas trente secondes. Le prof est passé derrière lui, le surprenant et il s'est retrouvé dans cet état. Reprit le jeune mafieux.

-OK. Passe-moi le professeur et vérifie qu’Ed ne s’endorme pas. Ordonna Roy d’une voix plus dure qu’il ne l’aurait imaginé.

Il y eut un mouvement de ligne lorsque Tsuna passa le téléphone au professeur et Roy se mit à parler, contrôlant sa voix qui se faisait de plus en plus énervée.

-Qu’avez-vous fait exactement ? Sa voix était emplie de menace qui se dévoilerait si le professeur osait lui mentir ou lui dire qui l’avait surpris son protéger volontairement.

-Je n’ai strictement rien fait, je vous le jure. Je voulais juste vérifier ce qu’il écrivait donc je suis passé derrière lui et nous en sommes arrivés à cette situation. La crainte du professeur se retranscrivait dans sa voix.

-Je suis là dans dix minutes, laissez Tsuna faire et reprenez votre cours. »

Le militaire était inquiet. Il n’avait pas prévu cela. Il avait l’impression que le sort s’acharnait sur lui. Il descendit de la chambre de son protéger en trombe, enfila ses chaussures, prévint qu’il sortait en criant et partit sans oublier de claquer la porte derrière lui. Il sprinta jusqu’au collège de la ville et tomba sur Hibari qui avait été prévenu de la situation entre temps.

Le chef du comité de discipline le guida aux couloirs maintenant vides de l'établissement. Ils trottinèrent arrivèrent de l'autre côté de l'établissement en moins de trois minutes. Hibari ouvrit la porte de la classe sans frapper et Roy s'engouffra dans la pièce remarquant sans difficulté son protéger qui était encore en train de trembler dans les bras du Vongola.

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