Un homme élancé et mince d’une trentaine d’année fit son apparition. Il était revêtu d’un genre de costard qui est à la fois classe, sobre et décontracté. Dans sa démarche on pouvait remarquer qu’il était distingué et sa façon de s’exprimer nous la confirmé. Sans aucun effet de surprise il se présenta sous le nom de Mr Bennet, professeur de littérature et de philosophie. Ce fut un petit soulagement pour moi. Pour la première fois je recevais comme professeur principal un professeur qui sous son nom de professeur avait un esprit ouvert. C’est ce que j’admire chez les professeures de philosophies. Ils ont un libre arbitre égale a ce des enfants doués de naïveté. Un enfant se pose un tas de question par jour. Pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi l’eau de la mer est-elle salée mais pas celle des rivières ? Pourquoi fait-il nuit le soir ?
Ces questions qui n’ont aucun sens et aucun intérêt pour les adultes. Et pourtant qui en ont pour les enfants. La valeur de ces questions pour un enfant est comparable à une avancée scientifique, ou encore, a une découverte de nouvelles terres ! Les professeurs de philosophies c’est un peu comme ça. Ils ont laissé libre cours à leurs esprits sans jamais douter de la superficialité de ces interrogations. Leurs mots d’ordre est la « connaissance ». La connaissance de soi même, de l’être, du monde.
Mr Bennet avait quelque chose en plus que les autres. Comme tous professeurs qui se respecte, il avait cette facilité à s’exprimer et à faire comprendre les idées profondes des sujets, expliquer avec rigueur chaque détails d’un programme, mais ce qu’il avait en plus c’est la passion. Il parlait avec passion. Il captive l’élève, il l’embarque dans un labyrinthe qui n’a pourtant au début aucune issue mais va le diriger de façon à le faire réfléchir, chercher, puis trouver la solution. Mr Bennet ne veux prouver en aucun cas qu’il est le meilleur mais veux faire partager sa passion des mots et nous démontrer l’étendue de leurs pouvoirs, l’impact qu’ils peuvent avoir sur nous, sur nos proches, sur une ville, ou même sur le monde.
Je n’ai même pas vu la matinée passer. Ce prof m’a complétement hypnotisé. J’ai ressenti cette sensation bizarre, celle que je ressens quand je suis sur la colline. Celle où je suis hors du temps. Comme abandonnée par tous ce qui m’entoure et n’être captiver que par ce qui a de l’importance et dont je porte attention, tout en sachant que rien ne puisse entraver ce moment. En sortant de la classe je pris la peine de dire au revoir comme tous les autres élèves mais j’ai tenue à lui dire merci. J’ai tout de suite reconnue le regard surpris quand il a eu en relevant la tête. Je pense qu’il n’a pas du comprendre la vrai raison de mon merci. Mais ça lui a fait plaisir et ma souhaiter un bon déjeuner.
A la caféterie il y avait un tel monde que je me suis donné pour mission de m’échapper des lieux le plus vite possible. Quand j’eux enfin quitter toute cette cohue, je me suis mis à la recherche d’un endroit calme, reposant et surtout loin de la foule. Tout naturellement j’ai emboité le pas vers le parc. Dans celui-ci j’ai trouvé un immense chaine qui étais légèrement en auteur. J’ai posé mes affaire au pied de l’arbre, mis mon dos contre l’écorce rappeuse du chaine, appuyer sur le bouton Play de mon IPod et j’ai fermé les yeux. En les fermant j’ai pu respirer profondément, me canaliser et m’évader au rythme de la musique. Apres dix bonnes minutes j’ai fini par les rouvrir délicatement, à la manière dont l’on décolle un bout de papier afin de ne pas le déchiré. Quand le jour met réapparue et que les formes et les couleurs sont redevenue visible je me suis mis à observer les personnes présente aux alentours, tout en dégustant mon déjeuner.
A deux arbres de moi, se tenais un groupe d’amis. Ils s’étaient disposer en cercle, autour d’un repas. Ça faisait plus pique-nique qu’autre chose. Ils étaient six en tous. Quatre garçons et deux filles. Les garçons ricanaient tous en mangeant et les filles elles, ont pris soin de mettre leur main devant la bouche. Une des filles ne pouvait s’empêcher de caresser ses cheveux. A croire qu’elle avait peur qu’ils se soient envolés avec le vent. L’autre, par contre n’arrêter pas de soigner son apparence. Elle remettait sont tee-shirt correctement, arrangeait les ourlets de son pantalon sans cesse, comme si un photographe lui montrer les poses qu’elle devait adopter afin que la photo rende bien. Je soupirais. Je ne comprends pas qu’on puisse autant se préoccuper de son apparence. Je ne peux pas dire que je néglige la mienne, mais disons plutôt que deux jean âgés de quatre ans, une paire de basket, quelque tee-shirt et sweet, me suffise pour m’habiller de la tête au pied à peu près correctement. Je ne passe pas des heures à choisir mes vêtements et a coordonnées le moindre accessoire avec.
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I was nothing before we met
Teen FictionLeo Buscaglia a dit : "nous sous-estimons souvent le pouvoir d'un contact, d'un sourire, d'un mot gentil, d'une oreille attentive, d'un compliment sincère ou la moindre attention; ils ont tous le pouvoir de changer notre vie." La vie était si doulou...