Chapitre 13

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Au réveil, une étrange sensation me traversait le corps. J’étais à la fois impatiente et terrorisé de passer du temps avec Finn. Et malgré la nostalgie qui m’envahissait j’avais décidé d’y faire face et de ne pas me laisser abattre. Il avait porté à mon égard très peu d’attention mais il avait essayé de me connaitre. Il s’intéressait à moi et dieu c’est que cela me terrifiais qu’il s’aventure dans ma vie me découvre et connaisse mes plus sombres secrets. Je ne me faisais pas trop d’illusion mais je devais arrêter de me cacher et de me morfondre. 10 ans que cela dur et j’en ai plus qu’assez. Ma peine se transforme en colère et je sais que cette colère grandi chaque jour et ne pourra s’arrêter a moins de trouver une force supérieure : celle du pardon.

Quand je finis enfin de me préparer je descendis dans la cuisine prendre mon petit déjeuner. Mon père était été déjà en train de le prendre et lisait son journal tout en tenant sa tasse de café.

-         Wow ! fit-il quand j’entrais dans la cuisine. Tu sors aujourd’hui ?

-         Oui … dis-je timidement.

-         Et qui est l’heureux élu ?

-         Finn Hood notre nouveau voisin.

Il me regarda avec un sourire narquois. Je déteste quand il fait ça.

-         Papa, ce n’est pas un rendez-vous, c’est juste une sortie pour apprendre à se connaitre et à lui faire visiter le coin.

-         Oui, pour apprendre à ce connaitre biensur. Il avait toujours se sourire narquois.

-         PAPA !! arrête ! on se regarda tous les deux et nous nous sommes mis à rire ensemble.

Cela faisait longtemps, très longtemps même. Mais ça faisait du bien un peu de guetter dans cette maison. Je finis rapidement mon petit déjeuner et fila en direction de la colline. Même si hier nous nous ne sommes pas donné d’heure et de  lieu de rendez-vous, d’une manière ou d’une je savais qu’il fallait que je me rende la bas. Je ne pensais pas qu’il serait déjà la quand je arriverai mais c’était le cas. Il m’attendait assis au même endroit que la veille. Je pris une grande respiration et m’avança vers lui.

-         Tu sais que tu risques d’être mouillé à cause de la rosée du matin !

Il se tourna brusquement dans ma direction.

-         Oh ! salut je ne t’avais pas entendu arriver. Il se leva et s’approcha de moi, pour venir me faire une accolade. Tu es ravissante aujourd’hui.

-          Merci … dis-je timidement. Je ne m’attendais pas à une accolade et encore moins à un compliment.

I was nothing before we metOù les histoires vivent. Découvrez maintenant