[2]Una chica diferente

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Holà les humains !

Je me réveille doucement avec un mal de tête dans une pièce éclairée mais plutôt insalubre, j'étais allongée sur un lit et d'ailleurs je ne savais pas où je me trouvais. J'ai pu constaté que je portais toujours les vêtements du mariage d'Amira.

J'ai voulu me lever lorsque je me suis sentie comme bloquée. Il avait attaché mes mains et mes chevilles aux quatre coins du lit avec des cordes. Je pouvais faire aucun mouvement ni aucun bruit d'ailleurs car il m'avait mit un foulard dans la bouche.

Je priais Allah pour qu'on ne me fasse pas de mal et je sorte de là. Qu'est ce que me réservait Medhi. Ça je ne le savais pas, encore.

J'avais l'impression que le temps passait à une vitesse très lente, je regardais un point du mur en pensant à tout, ma famille, mes amis et Anas.

J'essayais de détacher mes mains de ces fichues cordes mais c'était peine perdue, il les avait trop serrées.

Mehdi me sort de mes pensées lorsqu'il pénètre dans la pièce.

Lui- Oh t'es réveillé ça va ma chérie ?

Il avait les yeux rouges, il était pas stable. Il vient enlever le foulard qui était dans ma bouche. L'occasion pour moi de crier à l'aide.

Moi- À l'aide ! Au secours ! *criant*

Lui- Ta gu**le ! Ta gu**le !

Il pointe une arme sur ma tête, je savais qu'au fond il n'avait pas le cran de tirer sur moi mais il me faisait quand même peur. J'arrête donc de crier.

Moi- Pourquoi tu me fais ça Mehdi ? Pourquoi, répond moi ?

Lui- C'est pour ton bien, notre bien t'inquiète pas on s'aimera pour toujours. T'as faim ?

Moi- Non.

Lui- Si t'as faim attend je vais chercher à manger.

Il revient avec un plateau rempli de nourriture "potable". J'avais faim mais je ne voulais rien recevoir de sa part.

Lui- Mange !

Moi- Comment je suis attachée, je te rappelle.

Lui- Pas grave je vais te donner à la petite cuillère.

Ça me répugnait en plus de ça il ne sentait pas la rose.

Lui- Ouvre la bouche.

Moi- [...]

Lui- Ouvre la bouche bordel m'oblige pas à sortir mon gun.

J'ouvre la bouche doucement et il met de la soupe dans la bouche.

Lui- Voilà c'est bien, t'es belle quand t'obéit.

Je lui crache sa soupe en pleine face.

Lui- Ah tu veux me rendre fou c'est ça ? Hein Sihem c'est ça que tu veux ! *criant*

Moi- Tu l'es déjà mon pauvre.

Lui- Ferme ta gueule tu m'énerves, tes commentaires servent à rien.

Il a prit son plateau et il est partit.