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P A R I S ' S H E A D

Tokyo venait de partir avec rage chercher Alison Parker, ou l'agneau. Alors que Helsinki, Moscou et Oslo étaient partis dans la salle des coffres pour suivre le plan du professeur, moi et le reste du groupe organisions les otages. Nous avions récupérer les téléphones de chacun puis leur CODE PIN, nous les avons regrouper dans le hall d'entrée afin de nous en servir comme otages.
Une femme enceinte apeurée commença à suffoquer, je m'approchai d'elle doucement et là rassure en lui disant que nous n'étions pas des monstres. 

Tokyo arriva deux gamins en main qu'elle leur fit mettre un masque cachant leurs jeunes yeux innocents.
Puis elle se retourna vers nous et retira son masque. Je fis de même, enfin tout le monde.

"J'l'ai eu.", dit-elle.

"Où ça", questionnais-je

"Ils allaient baiser dans les chiottes.", précisa Tokyo, un sourire au coin des lèvres sûrement adressé à Rio car il lui répond un sourire équivalant.

"Vous deux ? Vous êtes... ensemble ?", demandais-je énervée. "Pas de relation personnelle a dit le professeur."

Rio resta inerte, et son teint quoique pâle prit une couleur rouge écarlate. Tokyo, elle s'approcha de moi, énervée.

"Sérieusement? Paris, t'a cru que j'avais assez de temps pour baiser avec un jeune de vingt ans ?"

"Tu crois que j'entends pas ta tête d'oreiller bouger à 3h du mat ?"

Tokyo allait me frapper lorsque une main inconnue, qui fut celle de Rio l'en empêcha.

"Sale p[...]te".

Je roula des yeux, lui répondis par mon majeur et tournai la tête car j'entendais une voix masculine venant des otages.
Berlin, qui fut aussi avertit se dirigea vers un homme d'une quarantaine d'années.

"Eh toi !" cria Berlin.

L'homme remit son masque et se tut tandis que Berlin aussi déterminé que jamais s'approcha lentement de lui.

"C'est quoi ton petit prénom ?", fit il d'une voix rauque.

"A...Ar....Arturito...", murmura t'il perdu.

"Bien Arturito. La prochaine fois que tu oses soulevez ton masque, Berlin fit un faux pistolet avec deux doigts, pin pin.", il se mit à rigoler. Sérieusement j'avais l'impression d'avoir à faire à un fou.

𝐒𝐎𝐘 𝐏𝐀𝐑𝐈𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant