Chapitre 8 ✓

10.3K 632 200
                                    


PDV Hermione




Je continuais, avec Malefoy notre ronde qui était silencieuse, ce que je trouvais bizarre lui qui ne manquait pas une occasion de me chercher avec ses allusions pas très catholiques.



Nous continuions à marcher quand Malefoy s'arrêtai et commençai à me parler.




- Alors Granger, dit-il. Tu ne parles pas ça m'étonne de toi, avec un sourire au coin.



Je m'en doutais, c'était trop beau pour être vraie.




- Et toi, tu parles trop, dis-je en le regardant. Rien d'étonnant.




- Ah, je te retrouve bien là, dit-il en me regardant un brin de moquerie dans la voix.




- Je ne te permets pas, de te moquer de moi la fouine, dis-je en essayant de ne pas m'énerver.




- Je me permets tout seul Granger, dit-il avec son air supérieur.



Pour qui se prenait-il ?!



- Pour qui tu te prends, dis-je en haussant le ton. Avec ton air supérieur.




- Pour ce que je suis, un Malefoy, dit-il fièrement.



Il avait l'air, d'être sérieux en plus !



- Je ne vois pas, ce que ton nom vient faire dans une histoire de supériorité, dis-je.




- Mais tout, vois-tu les Malefoy sont des êtres supérieurs ça a toujours été ainsi, dit-il en me servant, le sourire typiquement Malefoyen.




- Je n'y crois pas, dis-je en rigolant de la stupidité, de ses propos.




Il me regarda, et sera la mâchoire.




- Tu te moques de moi, dit-il en contenant tant bien, que mal, sa rage.




Je me calmai et lui dit :




- Toi aussi, tu rigolerais si tu t'entendais un peu, dis-je moqueuse.




- Sale, sang de bourbe, hurla-t-il en sortant sa baguette.




Je sortais la mienne, dans un réflexe que m'avait donné la guerre.




- Je pense, qu'il serait plus sage de se séparer, dis-je très sérieusement.



Il me regarda, et dans ses yeux, je vis de la colère.




- Je pense, en effet, siffla-t-il.




On se sépara, lui d'un côté et moi de l'autre.




***




PDV Drago



J'avais fini la ronde, de mon côté et je commençai à remonter, quand j'eus une idée de vengeance. Je rejoignais Granger qui ne m'avait pas vue et lui bondi dessus en disant un grand « Bouh », elle poussa un grand cri qui me fit rire.




- NON, MAIS ÇA NE VA PAS ! Hurla-t-elle en se tenant la poitrine.




- Merci de t'inquiéter pour moi Granger, dis-je en me retenant de rire. Mais je vais très bien.




- Pauvre imbécile, dit-elle rouge de colère.



- Je ne suis pas pauvre, dis-je en la regardant amusé.




- Pauvre non, dit-elle. Mais imbécile oui ! En tournant dans le couloir, qui menait au tableau de notre salle commune.




- Revient Granger, je plaisantais, dis-je en rigolant.




Elle partit dans sa chambre, en claquant la porte.

Toi et Moi, Non Merci !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant