Chapitre 16

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Point de vu Hugo:

Je suis devant la télé lorsque je sent mon téléphone vibré à côté de moi.
Je regarde donc quel est l'individu qui ose me dérangé, il y est écrit "Margaux". Je laisse tomber tous ce que je fait pour décrocher mon téléphone.

- Allo... Margaux ?

Je n'entend rien mis à part un lourd silence. C'est étrange. Je ne sais pas trop pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment.
Je sais que c'est mal mais de décidé de tracer son téléphone afin de savoir où elle se trouve. Juste pour me rassurer. 

Il est indiqué qu'elle n'est pas loin de chez elle mais le lieu n'est pas très bien indiqué. Je n'ai pas le choix il faut que j'aille ma trouver.
Je saute de mon canapé, prend mes clé de voiture  et fonce  à toute vitesse pour la retrouver.

Je tourne en rond et je ne la trouve pas. Ça m'énerve, ça doit faire plus d'une heure que je la cherche et toujours rien. Elle est peut être en danger.
Je me défoule sur un oeuvre mur qui n'a rien demandé mais il faut que ma colère sorte. C'est à ce moment précis que je me rappel avoir entendu le bruit de l'eau durant cet appel mystérieux.
Margaux est sûrement au lac qui se situe près de chez elle.
Je saute dans ma voiture et file à toute allure vers ce lac. J'espère qu'elle ce trouve là-bas, je m'inquiète vraiment.
Je me gare sur le parking et me dirige vers la forêt qui ce trouve derrière le parc.

Je la cherche du regard, mais je ne vois personne. Je la cherche encore et encore, mais toujours pas de Margot en vue. Je commence a croire qu'elle ne se trouve pas ici. Ça fait maintenant plus de deux heures que je cherche, je suis complètement désespéré.
Étant fatigué et ayant perdu tout espoir de la retrouver, je décide de prendre le chemin du retour.

Je marche tranquillement afin de ne pas me fatiguée davantage quand mon regard se fixe sur quelque chose. Je regarde attentivement cette chose qui ce trouve contre un arbre.
Oh mon dieu ce n'est pas une chose! C'est quelqu'un! C'est Margot!

Je me précipité vers elle afin de voir si va bien. Arrivé à proximité je remarque qu'elle est inconsciente je détourne mon regard de son visage et remarque qu'il y a une grande flaque de sang sur song abdomen ainsi qu’un couteau gisant sur le sol. Sans plus réfléchir je fait le numéro des pompiers et me dépêche de vérifier si elle respire si elle a un pould.

- Hallo
- Oui, les pompiers, il y a une personne qui c'est fait poignardé à l'abdomen il y a de cela à peus-prés deux heures de cela. Elle respire son pould est très faible. On dirait qu'elle a perdu beaucoup de sang.
- calmez-vous monsieur, on prend note de vos informations. Pourriez-vous me dire où ce trouve cette personne ?
- Oui bien sur, nous sommes à Briec dans la forêt qui suit le lac.
- Très bien, restez sur place on vous envoi un véhicule.
- Merci.

Ces minutes mon paruent interminables. Je m'en veut de ne pas l'avoir retrouvé plus tôt. Elle comptait sur moi, sinon elle ne m'aurait jamais appelé moi. Elle aurait appelé une autre personne.
Je rate tous avec elle. Je n'a sais vraiment pas m'y prendre.

La sirène des pompiers me fait sortir de mes pensées.
Je décide de m'éloigner afin de les laisser faire leur travail. Très vite min d'eux viens me voir pour me poser des questions.

- Est- ce que vous savez ce qu'il c'est passé ?
- Non, elle m'a appelé il y a de cela un peu plus de deux heures mais elle ne parlait pas. J'ai trouvé ça étrange et je me suis donc lancé a ça recherche. C'est alors que je l'ai trouvé ici, dans cet état.
- Vous n'avez aucune idée sur la personne qui aurait pu faire ça?

J'ai pris un petit moment pour réfléchir. Une personne me viendrait bien en tête mais je doit m'assurer que c'est bien elle avant de le dire.

- Non désolé, mais si jamais une personne me viens et tête d'ici quelques jours je contacterai la police.
- Très bien, Merci. Il tourne rapidement le regard vers Margot et me dit: Elle est prête à être emmené, est-ce que vous l'accompagnez?
- Oui évidemment.
- Elle aura besoin de ses proches pour surmonter cette épreuves.
- J'en prend note.

Je rejoins donc Margot dans le camion, mais elle, elle se trouve dans un brancard avec des fils branchés de partout et des machines qui ne font que bipper toutes les secondes.
Alors que moi je suis assis tout confortablement dans un siège.
J'espère que ça va aller pour elle, le pompier avec qui j'ai parlé avait vraiment l'aire inquiet.
Je n'ai pas quitté son visage de tous le trajet. Une fois arrivé à l'hôpital, les médecins m'ont dit d'attendre dans la salle d'attente. C'est insoutenable.

Et si j'étais arrivé trop tard. Et si elle avait perdu trop de sang. Et si son pould etait trop faible. Milles et une questions se bousculent dans ma tête. Il faut que je sache comment elle va.

C'est à ce moment que je réalise qu'elle souffrance c'est d'attendre des nouvelles de quelqu'un qui est à l'hôpital. Je ressent ce qu'on ressentis ses parents, ses amis, sa famille lorsque je l'ai envoyé à l'hôpital il y a de cela quelques mois. Je m'en veut tellement. J'ai fait énormément de conneries.

Une infirmière s'approche de moi et m'annonce que je peut aller la voire dans sa chambre. Elle me prévient que elle est branché a des machines pour vérifier son état de santé continuellement. L'infirmière ne dit ensuite qu'elle ne ces toujours réveillé et qu'ils ne savent pas quand est ce qu'elle va ce réveiller. 
Elle me dit qu'elle ne peut pas me donner plus d'informations car je ne suis pas de la famille. 

Elle me dépose devant la porte. Arrivé devant, je ne sais pas pourquoi mais j'hésite à entrer. Dois-je partir ou rester. Qu'est-ce qui serait le mieux pour elle ?

Mon voisin d'en face Où les histoires vivent. Découvrez maintenant