chapitre 4

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J'étais presque arrivée au lieu de rendez-vous, je pouvais les voir mais eux ne pouvaient pas me voir.
Puis tout à coup, je suis prise de haut le coeur, je ne peut faire ce que l'on me demande. Je n'ai jamais autant été terrorisée de ma vie. Je ne sais pas quoi faire, prendre mes jambes à mon cou au risque d'en subir les conséquences, mais d'avoir une encore bonne image de moi, ou bien le faire et le regretter jusqu'à la fin de mes jours.

Je finis par décider de fuir à mes risques et périls. Il était hors de question pour moi de faire cela. Hugo ne sera pas content, il n'aura pas son argent, il m'en fera voir de toutes les couleurs mais tant pis, c'est le risque que je décide de prendre.

Je fait un petit détour pour rentrer chez moi car je savais que Hugo connaissait mon adresse et je ne voulais pas lui tomber dessus. Ses clients l'avaient sûrement appelé pour lui été que je n'étais pas venu. Je savais qu'il se mettrait hors de lui et partirait à ma poursuite.

Je marche dans la rue quand je me retrouve plaquée au mur d'une maison et me retrouvait face à Hugo. Je suis dégoûtée, je suis presque arrivée chez moi, mais comment à t-il fait pour me retrouver? Je suis passée par un chemin que presque personne connais. Son regard était terrifiant, un peu comme un meurtrier. Il commença à m'insulter de tout les noms puis continua en me frappant. Au début c'était des coups de points dans le visage puis dans les côtes. Je lui suppliait d'arrêter de toute mes forces et criait à l'aide, c'est à ce moment là qu'il me cogna violemment la tête dans le mur en pierre. Il me tenait par le cou, ce qui m'empêchait de crier et même de respirer convenablement. Il enchaina avec des coups de genoux et de pieds un peu partout sur le corps. J'étais clairement entrain de mourir à petit feu. Une fois qu'il eu arrêté, il me dit quelque chose que je ne sous comprendre car mon esprit se trouvait déjà très loin. Il m'avait laissée là, allongé sur le sol froid et mouillé presque sans vie. J'entendis quelqu'un se précipiter vers moi, mais je ne pu identifier la personne, elle me murmura quelque chose puis trou noir.

Point de vue Anthony :

Je me promenais dans les petites rues, quand j'ai vu Margaux presque sans vie sur le sol. Plus je m'approchais, plus je voyais qu'elle avait beaucoup souffert. Il y avait beaucoup de sang, je me dépêche d'appeler les pompier.

Je lui posais mille et une questions, mais son esprit étais beaucoup trop lons pour qu'elle y réponde ou même ne les comprenne. Ce qui m'a fait encore plus paniqué pour elle.

Une fois les pompiers arrivés je leur ai expliqué que je l'avait trouvé comme ça sur le sol, je l'avait seulement couvert de ma veste pour pas qu'elle n'ai froid. À partir du moment où je l'ai trouvé dans cette rue, j'avais décidé que je la protégerait toujours et que je veillerai toujours sur elle, même de Paris. C'est une promesse que je me suis faite et que je compte bien tenir. Je l'ai donc accompagné à l'hôpital avec les pompiers.

J'ai envoyé un message à mon père afin qu'il prévienne ses parents qu'elle allait à l'hôpital. J'ai du attendre un bon bout de temps en salle d'attente car il fallait qu'elle passe des examens, ses parents m'avaient rejoint environ une demi-heure après notre arrivé. Son père était fou et voulait à tout pris savoir ce qu'il c'était passé. Je lui ai donc raconté la même chose qu'aux pompiers. On était tous inquiet. Une infirmière est venu nous trouver en salle d'attente pour nous informer de son état. Elle devait se faire opérer rapidement car elle avait une perforation d'un des poumon et qu'elle avait de graves fractures et une hémorragie au cerveau qu'il fallait arrêter au plus vite pour pas qu'elle n'ai de séquelles. Ses parents se sont donc empressés de signer les papiers.

L'opération a durée au moins 4 heures. 4 heures à s'imaginer le pire pour elle, 4 heures à se dire que si je n'avait pas fait le con tout ça ne se serai pas produit, 4 heures à vouloir toit casser dans cet hôpital pour faire sortir la rage que j'avais en moi.

Au bout de ces 4 heures, nous apercevons l'infirmière se diriger vers nous, une fois qu'elle était en face de nous, nous nous levons afin de l'écouter.

L'opération c'est bien passé, bous avons pu arrêté l'hémorragie, elle ne devrait pas avoir de séquelles. Nous avons également remis tous ses os en place, elle a beaucoup de fracture. Et nous avons pu réparer son poumon. C'est constantes sont stable, mais les prochaines 24 heures serons décisives pour la suite.

Le soulagement se voyait sur le visage de ses parents à l'entente de ces paroles et je l'était également. Nous sommes dons aller au chevet de Margaux. La pauvre, elle avait des hématomes sur presque tout le corps et également l'arcade ouverte, mais pour moi elle était toujours aussi belle.

J'étais déterminer à rester jusqu'à son réveil, j'ai donc passé la nuit ici. À mon réveil, je n'avais qu'une envie, qu'elle se réveille. Je voulais savoir ce qui lui était arrivée, même si je pensait déjà le savoir. Je la fixait sans jamais détacher mes yeux d'elle, même quand les infirmières venaient pour prendre ses constantes. Je n'avait qu'une envie, trouver chez elle un signe qui me dirait qu'elle allait bientôt ouvrir ses yeux si ravissants. Quand tout à coup je vis ses paupières bougées, je cru que j'allais lui sauter au cou quand enfin elle les ouvrit et que je pouvais de nouveau voir c'est beaux yeux amende et couleur émeraudes.

Comment allait-elle ? Avait-elle mal ? Souffrait-elle ? Mais surtout, s'était-il passé ce que ce que je pensais qu'il c'était passé ?

Mon voisin d'en face Où les histoires vivent. Découvrez maintenant