Agie avait encore les paupières closent, sa respiration s'accélerait et s'aténuait à chaque fois, ses narines palpitaient et elle remuait en émettant des gémissements plaintifs qui se succédèrent à un "non" interminable. J'accourus à son chevet pour la rassurer et tenter de la réveiller mais ce sommeil de plomb, était beaucoup plus coriace que les secouses qu'elle reçu de ma part. Ue fois rasséréné elle replongea dans cette léthargie insolite qui fut son sommeil. Après l'avoir minutieusement osculté des yeux, je la blottis sous la couverture et allai me débarbouller. J'endossai mon pulle à capuche, après la routine coutumière. Une demie heure plus tard, je me ruai incognito vers la fraîche pelouse. La température se réchauffait puisque les murs et pierres soudés au sol refoidient par les bourasques glaciales devinrent brûlants. Les rayons du soleil levant reflétaient sur les vitres bleux océans de l'ail oeust du manoir et cette clarté bleutée inonda l'intérieure tel un projecteur. L'île était en proie à des vents tériblement violents et les arbres furent serieusement atteints car cette force invisible les secouaient au point de les arracher. Ses boiffés d'air tenaces et rigides soulevaient des tourbillons de poussières tels des tempêtes de sable. Ce qui contraignait les gens à deumerer chez eux pour éviter de contracter des épidémies.
Finit d'abserver l'horizon, je courus me servir un petit déjeuner méthodique puis m'extirper un livre de mon male encore ordonné, je m'assieds quelque part où la solitude pesait pour lire sans aucune annicroche. A travers les lignes de ce chair de poule, je percevait Nathan, je pensais étonnamment à cette amitié qui croissait entre nous. Cette atmosphére était assez mouvementée pour une autre escapade qui, le sachant pertinemment, mettrait le feu au poudre. Mes aspirations se réfrénèrent à l'instant, puisque contacter Nathan m'était impossible! et j'ignorais où il habitais. Et soudain une réminiscence assez soudaine me vint en tête, Nathan avait glissé ses coordonnés dans la poches du court jean que je portais hier, même si s'était assez floue dans ma tête. J'allais mettre malheuresement ma chambre en dessus dessous pour retrouver ce court jean. Car les habits sales s'encroûtrent je ne sais où.
Je devais récupérer mon portable toujours entre les mains d'Agie pour appeler Nathan. Mais comment faire pour ne pas éveiller les soupçons sur mon escapade? et en plus avec Nathan, ce qui m'étais formellement interdit hier soir. Seuls mes escarpins importés de france saurait faire taire Agie. Seigneur! quel dilemme.
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Mystère d'un royaume
ParanormalIberné dans ce goufre inextingible, l'esprit lévitant dans l'espace temps, sorte de purgatoire d'oú cet esprit débonnaire comme létargique livrait un combat perpétuel avec son subconscient. Une hantise s'extériorisant en judaïque, l'enfer comme tré...