Alice

Chapitre 14

A peine le pied a terre que l'on m'attrape le bras. C'est Sasha, Lino, Julien et Alex. Je remarque assez rapidement un camera man qui film la boite accompagner d'un journaliste. Je viens alors faire l'andouille devant la camera et a danser comme une folle.

- J'espère que c'était en direct ! Dis-je en rigolant.

[ Le lendemain chez Nat]

Je suis verte de honte devant mon passage a la télé... Nat ce fout bien de ma gueule tien.

Les jours passe et ma semaine de congé passe plutôt rapidement. Ça me fait mal de l'admettre, mais ça ma manquer de bosser. Je suis donc en train de nettoyer le bar quand une personne m'interpelle.

- Tu vois pas que je suis occuper ? Dis-je sans lever la tête.

La seconde d'après je me prend une gifle, ma tête fait un jolie 360. Je n'ai pas le temps de rétorquer que, sans comprendre, je me retrouve soulever par Adam et Tom un bras chacun.

- Cela ne peut durée plus longtemps jeune fille. Tu ne peu décidément pas continuer a faire ce qu'il te chante. Il faut que tu te reprenne en mains !

Ni une ni deux je me retrouve avec eux dans la voiture. Je hurle et me débat. Tom met sa main devant ma bouche, mais je le mord. Adam me bâillonne avec son écharpe. Je cesse de me débattre au bout de quelques minutes trop fatiguer pour cela.

Cela fait deja un moment que l'on roule, personnes ne parle et la radio est éteinte. On passe devant un grand bâtiment entourer de grillages. Ma mère ce gare et les gars continue de me tenir, nous sommes devant un centre de désintox. Que ce passe t'il a la fin ! Je reprend mes cris étouffer par l'écharpe et me débats. Tom ce prend un de mes coup de pieds dans le nez, bien fait. Une femme arrive avec deux hommes en blanc. Les deux gars me sorte de le voiture et retire l'écharpe. Je me met a crier et a me débattre. Ma mère parle a la dame et celle ci viens me voire avec une seringue.

- Tu compte faire quoi avec ça ! Range ça !

Elle me prend le bras, m'injecte le tranquillisant. La substance fait doucement effet, je regarde ma mère les larmes au yeux.

- C'est pour ton bien ma chérie... Dis t-elle.

Je me réveille dans une salle, je suis allonger sur un lit absolument pas confortable et dans des habits qui ne sont pas les miens. Je cours vers les toilettes que je trouve assez rapidement. Dans cette chambre il y a un lit, une armoire, un bureau avec une chaise. Dans la petite pièce voisine fermer par une porte sans verrous ce trouve la salle de bain, une douche, un toilette et un lavabo. Je vomis tout ce qui ce trouve dans mon estomac.

- Ce sont les effets secondaires de ce que nous vous avons injecter plus tôt. Dis une voie féminine.

Je sort de la salle de bain et vois une femme debout en tailleurs dans l'encadrement de la porte.

- Votre famille remplie vos papiers d'admissions si vous voulez leurs parler avant qu'ils ne partent.

Je suis l'autre pimbêche, je suis étonnamment calme. J'ai intérieurement envie de tout casser, mais je garde ça pour la gueule d'Adam et Tom. Par ailleurs en parlant du loup ils ce trouvent a coté de ma mère qui signe des papiers. J'insulte Adam et lui fonce dessus commençant a le rouer de coup. En m'apprenant a passer a Tom deux gros bras m'attrape pour me calmer.

Je suis rendu dans une partie du bâtiment, la où ce trouve ma chambre. Énerver je cherche un endroit ou sortir. j'ouvre des porte jusqu'à trouver un bureau. Je monte sur le bureau et ouvre l'aération pour entrée dans le conduis quand on me chope le pied. Je me retourne brusquement et je vois Alex.

- Tu fou quoi ici ?!

- Mes parents sont des alcooliques.

- Je croyais que t'avais coupé les ponts ?

- Ça ne m'empêche pas de vouloir les revoir.

Il me relâche et prends ma main avant de me tirer dans le couloir. Nous arrivons devant une chambre, il me regarde, m'embrasse et ouvre la porte.

- Mais attends... !

On entre tout les deux, je me met en retrait. Il me tien la main. Dans la chambre ce trouve un homme et une femme, ils me dévisagent.

- Alex mon chéri cela fait longtemps ! Qui est cette jeune fille ?

- Ma petite amie.

Mes joues s'empourpre, sa mère sourie en me regardent. Je regarde son père qui me souris également. Moment gênant !