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Je tapa contre la porte de Baekhyun et seulement quelques secondes après il avait déjà ouvert.

« T'en a mis du temps. Et puis tu connais pas encore le code ?

- Bah non, qui me l'aurait donné ?

- Ah, je pensais l'avoir fait, bref c'est la date de mon anniversaire.

- 0605 ? » Demandais-je inconsciemment en m'affalant sur le canapé.

Il resta bloqué un instant puis s'avança vers moi.

« Tu te souviens de la date de mon anniversaire ?

- Bien sûr que je m'en souviens.

- Who je suis touché, je pensais pas que tu retiendrais ça.

- C'est quand même un date importante, tu me prends pour qui ? » Le questionnais-je en riant légèrement.

Il haussa les épaules, lui aussi un sourire aux lèvres et s'assit sur le bord du canapé en tapotant la place juste à côte de lui. Je me suis alors laissé tomber, m'allongeant simplement de tout mon long en attrapant un coussin pour poser ma tête dessus. Juste à côté de là où il était assis.

Je ferma alors les yeux, il faisait bon et la présence de Baekhyun était réconfortante.

« Au fait, tu m'avais pas dit pour tes cheveux, c'est bien comme ça.

- J'attendais que tu le remarques ! Je commençais à perdre espoir.

- J'avais remarqué à la seconde où mes yeux se sont posés sur toi, tu sais ? »

En prononçant cette phrase j'avais sentis les doigts de Baekhyun se glisser dans mes cheveux et les caresser.

« Et toi, tu veux faire des colorations ?

- Euhm, non pas vraiment, j'en ai déjà fait quand j'étais plus jeune. Mais je préfère comme ça et puis c'est moins d'entretien.

- C'est vrai, tu as raison, tu es beau comme ça. »

Un sourire se dessina sur mon visage alors que j'entendais ses mots, il enleva une main de mes cheveux pour venir poser son index sur ma mâchoire, juste en dessous de l'une de mes oreilles. Il en retraça la courbe lentement pour faire arriver son doigt de l'autre côté de mon visage.

« Ta mâchoire est belle. »

Il déplaça son index sur le haut de mon nez et le fit descendre jusqu'à son bout.

« Et ton nez est beau. »

Il le posa ensuite sur mes paupières, le faisant glisser sur celles-ci, l'une après l'autre.

« Tes yeux sont tellement beaux aussi. »

Il caressa mes oreilles de la même manière, du bout de son doigt.

« Même tes oreilles sont belles. »

Il s'arrêta un moment, je ne sentais plus sa peau contre la mienne.

« Tu dors ? »

Je ne pu pas répondre tout de suite, un peu déboussolé par le contact que nous avions. Mon coeur battait si vite que je ne pouvais pas comprendre la situation. J'avais peur d'ouvrir les yeux et j'avais peur de ce qui allait se passer ensuite.

« Non, pourquoi ?.. » Soufflais-je, presque inaudiblement.

Il attendit un petit moment avant de reprendre la parole alors que moi je restais les yeux désespérément fermés.

« C'était pour savoir où je devais m'arrêter. Si tu dormais, la question ne se serait pas poser. Où du moins, sans autant de gêne que maintenant.

When you start talking to meOù les histoires vivent. Découvrez maintenant