chapitre 5

27 2 1
                                    

Assis depuis maintenant une dizaines de minutes dans un silence pesant aucun ose parler.

Après une longue réflexion Aideline annonce.

- Je pense que je vais vous laisser, monsieur Darwin.

- Vous êtes ensemble depuis combien de temps?

Aideline ne comprends pas le sens de sa question.

- Pardon Mr Darwin je ne connais pas.

Carl lance un regard vers le lit et Aideline comprends sa pensée.

- Oh Oh non, monsieur il n'y a rien entre moi et votre frère.

Elle sourit et reprend, malgré le regard impassible de Carle.

- Je suis la nièce d' Astrid la secrétaire de votre père, elle était présente au moment de l'accident, vue qu'elle était fatiguée après le choc de l'accident je l'ai conseillé de rentrer se reposer et moi je resterai veiller  votre frère. C'est la première fois que je le vois.

Cette nouvelle sans le vouloir à réjoui le cœur de Carle, mais il ne laisse rien transparaitre sur son visage.

- D'accord excusez-moi moi pour l'erreur.

- C'est compréhensif Monsieur.

Elle prend son sac et lance un regard vers le lit du patient pendant une minute avant de dire:

- Je passerai demain pour voir comment se porte votre frère.

Elle se lève et part sans un regard en arrière.

Carle regarde la porte part où est sorti la jeune femme pendant un laps de temps avant de rapporter son regard vers le lit de son frère.

Il se rappelle que lorsque son père l'a appelé il était en pleine réunion téléphonique avec ses directeur qui se trouve en Italie.

Il n'avait pas aimé cette interruption,mais avait quand même répondu à son paternel.
La nouvelle de l'accident de son frère l'avait un peu émue,bien qu'ils n'aient jamais été très proches,cela n'exclut pas le fait qu'il est son frère.

Il desserre sa cravate et retiré sa veste, il se pose vers la fenêtre et observe le ciel étoilé en plongeant ses mains dans sa poche.

Il imagine si sa mère eu été présente elle aurait pleuré de voir son fils chéri dans cet état et l'aurai reproché de ne pas avoir su le protéger.

Il n'a jamais été l'enfant chéri de ses parents, il est comment dit-on le vilain canard
Il sourit à cette pensée amer et soupire.

Ne me quitte pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant