Les premiers rayons de soleil pénètrent dans la chambre, les oiseaux entonnent leurs douces mélodie.
Deux corps entendu sur le lit, enlacés l'un à l'autre, comme si la vie s'arrêtait à cet instant.
Darwine ouvre les yeux regarde le plafond, puis les poses sur la femme étendu sur son torse, le visage paisible, les cheveux en pagaille, cela n'enlève rien à sa beauté.
Il pose son index sur sa joue et entreprend d'y faire des cercles avec douceur.
Au même moment Aideline s'agite et ouvre les yeux, il lui faut une minute pour réaliser dans quelle position elle est.
Elle se lève d'un bon et observe sa tenue puis celle de Darwine. Après son inspection elle émet un souffle de soulagement.
Darwine sourit face à cela.
- Satisfait de réaliser qu'il n'y a rien?
-Oui,( elle se passe une mèche invisible derrière l'oreille avant de reprendre d'une voix mal assuré)
-Mer...merci pour hier monsieur Darwine, vous n'étiez pas obl...
Elle se voit interrompre par le doigt de Darwine sur ses lèvres.
Au contacte de ses lèvres Darwine n'a qu'une envie c'est de les prendres.
- Ne me remerciez pas, cela est tout naturel.
Elle hoche la tête et sourit
- Je descends vous faire un café, rejoignez moi une fois prêt.
Sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit elle est déjà sorti de la chambre.
Darwine regarde cette femme s'éloigner de lui à toute vitesse avec regret.
Il se retourne et rejoint la salle de bain pour faire sa toilette.
Une heure après ils sont tous à table sous la véranda.
-Aimeriez vous parler de ce qui s'est passé hier?
- Non je préfère pas désolé.
- Mais au cas où sachez que je suis là.
- Merci je tâcherai de m'en souvenir.
Darwine se contente d'un hochement de tête.
Assise au bord de l'eau, les pieds dans la rivière Aideline pense à se fameux jour.
***
Alors qu'ils entrent dans l'ambulance la voiture où se trouve son père exploseAideline voit les pompiers essayer d'éteindre le feu mais peine perdue , elle sait que son père n'est plus.
L'ambulancier ferme les portes.
Aucun sons ne sort de la bouche de la petite Aideline juste des larmes, sa mère sous le casque est endormie.
Une demi-heure après ils arrivent à l'hôpital et elle se voit séparée de sa mère.
On la soigne, vue que son état n'est pas grave elle ne passe pas beaucoup de temps entre les mains des médecins qu'elle se voit confié à sa tante Astrid qui est venu trois heures après.
Cela fait trois jours que sa mère est dans les soins intensifs son cas ne s'améliore pas, la petite Aideline demande au bon Dieu de bien vouloir faire un miracle.
Elle a même cassé sa tirelire pour donner à un SDF, pour que le bon Dieu voit sa bonne action.
Il est dix neuf heure Aideline est dans la chambre le couloir de l'hôpital c'est le cinquième jour, sa mère est dans la salle d'opération, son cœur a lâché on essaye de la ranimé, la petite Aideline joint ses doigts et demande au bon Dieu d'aider sa mère.
Trente minutes après un homme vêtu bizarrement sort de la salle où s'allume une lampe rouge, il a du sang sur les vêtements.
Il la regarde étrangement, mais il ne dit rien, sa tante se met à pleurer et la serre fort dans ses bras.
Elle entend l'homme dire
" On est désolé, on a tout essayé"Une trentaine de minutes après un lit sort de là, un drap couvre un corp.
- Tata où est maman?
Astrid ne dit rien, elle observe l'enfant à ses côtés.
- Vient Aide allons-y
- Mais Tata maman est où?
Astrid se meut dans un silence complet et lui prend la main pour la faire sortir.
À se moment son âme d'enfant meurt, elle comprend que sa mère n'est plus, des larmes coulent de ses yeux
Astrid s'agenouille au niveau de l'enfant et la porte.
Se jour là en franchissant les portes de l'hôpital, Aideline laisse son âme d'enfant derrière elle.
VOUS LISEZ
Ne me quitte pas
RomanceMa chère Lucie,j'ai fait une rencontre qui a bouleversée ma vie, il était à l'opposé de tout ce que j'ai pu imaginer, il avait tout ce que je n'ai jamais aimée. mais il a suffit d'une seule seconde pour que mon coeur s'éprenne de lui, il brisé et...