chapitre 9

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La vie avait repris son cour depuis l'accident.

Assise seul sur la plage Aideline observe les couples d'amoureux main dans la main. Les enfants qui court et font les châteaux de sable des familles qui rient.
Elle se lève et se met à circuler seul lorsqu'elle arrive un peu loin où elle remarque qu'elle est seul elle se pose sur le sable chaud soudain le se voit partie pour un rêve éveillé.

- Tu ne l'aides pas ainsi .
- Mais chérie ne soit pas fâché magie.
Sa mère fait une moue.
- Tu sais que tu  es plus belle ainsi?
Aideline à l'arrière rit et s'agite.
- Maman est la plus belle.
- Oui Aide maman est la plus belle.
- Arrêtez de vouloir m'amadouer.
- Chérie nous ne faisons que venter tes mérite.

Johne s'approche de sa femme et lui donne un baisé sous les rires de sa fille, mais soudain un choc  violent les sorts de la route.

Les larmes aux yeux Aideline se lève et regarde autour d'elle le souffle court comme ci son cœur allait cesser de  battre.
Elle enlève le peu de sable qu'il lui colle à la peau et s'en va de la plage.

Elle arrive chez elle une demi-heure après
- Aideline un paquet pour toi sur ton lit.

Elle entre et voit un carton blanc sur son lit, elle ouvre et voit une robe rouge somptueuse, une rose et une lettre.
Elle se saisit de la Rose la sent, puis prend la lettre.

- Pour une rose telle que vous veuillez accepter cet humble cadeau qui est à votre image et cette invitation à dîner demain soir en ma compagnie. Je viendrai vous prendre à vingt heures. C Darwin.

Elle relie la lettre une deuxième fois, une troisième fois puis la déchire et la met dans la corbeille. Puis prend la robe la met dans un sac qu'elle met au coin de sa porte.
Elle n'a pas l'intention de répondre à cette invitation.

Le lendemain avant de quitter la maison elle annonce à sa Tante qu'elle passerait sa nuit chez Lucie.

Le soir chez Lucie, elles discutent sur les événement de la veille

- Tu me dis que le beau Carle Darwin t'a invité à dîner et toi tu t'es défilé?

Assise dans le salon de son amie autour d'une pizza Aideline lui montre la robe.

- Je me suis pas défilé,mais j'ai désisté.

- Désisté,défilé, en gros tu as fait une connerie.

Elle sourit face à la tête de son amie.

- Lucie je serai pas l'un de ses trophée, mais si tu veux tu peux prendre la robe.
- Tu es sûr?
- Oui.
- Youpi je vais la revendre.

Aideline se touche la tête

- Tu es une vraie folle.
- J'ai pas un milliardaire qui me cour après moi, je dois gagner de l'argent moi.

Elles mangent leur pizza tout en se racontant des histoires .

Le lendemain lorsqu'elle rentre chez elle, c'est sa Tante qu'elle voit fâchée.

- Tu aurais pu me dire que tu fuyais Carle .
- Cela n'a aucune importance, maintenant il a compris que je ne  veux pas.
- Mais c'est mal poli de fuir ainsi, fallait le lui dire en face.
- Je suis mal poli n'oublie.

Astrid se tient la tête.

- Tu es têtue comme ton père.
- Vos mieux que je garde quelque chose de lui. Son regard se voile de tristesse.

Sa Tante s'approche d'elle en boitant et en se tenant debout à l'aide de sa canne et lui fait une étreinte avec son bras libre.

- Ma puce, j'ai pas voulu te rendre triste.
- J'ai sais Tata,c'est juste que ces derniers temps je pense trop à eux, sans doute parce que je sais que leurs anniversaires approche.
- Sans doute ma belle, bon va te changer je te fais à manger.

- Tu n'as qu'une main libre et en plus tu boîtes.

- C'est pas ça qui va m'arrêter ma petite. Allé file

Aideline regarde sa Tante avec sourire aux lèvres et se demande qu'aurait été sa vie sans elle.

Elle sort de la fac fatigué après se long cour de psychologie, elle Salut quelques collègues de cour et se dirige vers l'arrêt de bus, elle regarde sa montre qui indique dix heures du soir, elle est seule et elle a un peu peur, bon très peur elle doit l'avouer, mais soudain une voiture noire, avec les vitres fumées s'arrête au devant d'elle, elle sent l'anxiété la gagner que lui veux la personne à l'intérieur de la voiture?

Ne me quitte pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant