chapitre 15

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Cela fait plus de trois jours qu'il n'a pas des nouvelles de Aideline, Darwine arpente son bureau comme un lion en cage.

Des coups à la porte attire son regard.

- Entré. Crie-t-il

Un jeune homme apparaît dans l'embrasure de la porte

- Je vous prie entre Philippe, j'espère que vous avez une bonne raison.

- Mon... monsieur votre père est à la salle d'attente il aimerait vous voir.

- Faites le entrer.

Le jeune part en vitesse comme ci il avait le diable à ses trousses.

Darwine prend place dans son fauteuil.

La porte s'ouvre et son père entre avec un démarche de roi.

- Bonjour père lance Darwine après s'être levé de son fauteuil par politesse.

- Bonjour fils.

Darwine invite son père à prendre place.

- Que me vaut ta visite?

- je suis venu  t'inviter à une réception qu'on organise dans la maison familiale le mois prochain.

- waouh on m'invite dans ma propre maison que c'est beau.

- Arrête ton sarcasme, tu sais bien que tu es le bienvenu c'est juste toi qui ne veux plus y mettre les pieds.

- Je crois que tu connais le pourquoi?

- Enterre la hache de guerre avec ton frère et reviens à la maison.

- Que ton fils grandisse d'abord.

Après une trentaine de minutes pénible Darwine se retrouve le calme de son bureau.
Assit il observe le plafond du bureau, puis se lève soudainement.

Astrid entend la sonnette de l'appartement et va voir qui sait à travers le judas, c'est avec étonnement qu'elle aperçoit le fils de son patron.

Elle ouvre la porte avec un sourire sur son visage.

- Bonsoir Monsieur Darwine, que me vaut cette visite? Je vous prie entrez.

Darwine entre dans l'appartement tout en observant le lieu, en priant de l'apercevoir .

- Vous cherchez quelqu'un?

Darwine ramène son regard vers la dame en face de lui.

Astrid sourit.

- Je crains que la personne que vous cherchez ne soit pas ici.

Elle se dirige vers le salon et l'invite à faire de même.

Elle prend place et lui demande de faire de même.

- Que voulez-vous à ma nièce?

- Je crois que je suis amoureux de votre nièce madame Astrid.

- Vous ne mâchez pas vos mots vous.

Darwine hoche la tête.

- Vous savez Aideline est très fragile et j'aimerais pas que vous veniez détruire le peu de calme qu'elle a.

- Je vous jure qu'il m'est impossible de le faire, elle m'a rendu fou.

Astrid pouvait voir  la détermination dans le regard du fils de son patron.

- S'il vous plaît où est elle?

- Dans un chalet.

- Pour...

- Vous savez elle y vas chaque année pour pleurer la mort de ses parents et chaque année elle y revient brisé d'avantage et je suis incapable de quoi que ce soit.

- Je peux aller la rejoindre là? S'il vous plaît .

- Lorsque vous y serez, ne la brusqué pas, elle peut se muré dans le silence pendant trois jours voir plus.

Darwine hoche la tête

- Ramenez moi ma chérie.

- Je vous le promets madame

- Elle est au chalet de...

Ne me quitte pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant