Ne me quitte pas

chapitre 7

Elle avait passé toute sa journée avec sa Tante et avait demandé à Lucie de l'excuser à l'hôpital pour son absence,malgré le fait qu'elle ait appelé l'hôpital, car elle savait que Belinda des ressources humaines cherchait une raison pour lui faire quitter l'hôpital.

En toquant à la porte d'une manière timide Aideline s'attendait à entendre une répons, mais rien hélas.

En aspirant une grande bouffée d'air, elle tourne la poignée et entre dans la chambre 212.

En y pénétrant, elle y trouve personne seule le patient endormi dans son lit est présent.

Elle approche vers le lit et observe l'homme étendue la paisiblement, elle ne peut nier qu'il a un joli visage et qu'il est belle homme, malgré sa position de faiblesse rien ne diminue son charme.

Aideline sourit face à sa façon de détailler le pauvre homme et se retourne, mais en se retournant son cœur rate un battement.

Carle ne s'attendait pas à revoir la jeune femme dans la chambre de son frère alors qu'il avait attendu secrètement sa venue dans son coeur et ne comprenait pas pourquoi se sentiment.

Il observait depuis maintenant une bonne dizaine de minutes entrain de contempler son frère et cela a provoqué un petit pincement dans son coeur incompréhensible.

Mais lorsque la jeune femme a posé son regard sur lui, il a senti son cœur tambouriner d'une manière étrange.

- Bonsoir, lance-t-il en pénétrant complètement dans la chambre avec son gobelets de café.

Aideline le regard pendant une fraction de seconde avant de répondre.

- Bonsoir Mr Darwin, j'étais...
-Venue voir mon frère je sais, lâche-t-il en lui coupant la parole. Puis il reprend.
- Comment se porte votre Tante?
- Bien monsieur, elle vous a envoyé des salutations.
- Dit lui que je lui souhaite un bon rétablissement.
- Merci monsieur.

Puis il y a un froid qui s'installe personne n'ose parler.

- Vous. Ils le disent au même moment Aideline sourit et Carle de même.

- Je vous écoute, dit Carle.
- Je voulais juste savoir si vs avez pue au moins vs reposer?
- Oui sur se fauteuil et laissé moi vs dire qu'il est confortable.

Aideline sourit à son humour.

- Si cela ne vous dérange pas je peux rester ici veiller votre frère le temps que rentré faire un petit somme et vous rafraîchir.
-Je...
- Elle a raison chéri. Lance une voix.
Tous les deux se retourne vers la porte et voient une femme faire son entrée avec une démarche féline.

- Bonsoir Rosalie, lance Carle sans enthousiasme.

Aideline remarque que la femme lui lance des éclairs par son regard et en déduit que c'est sûrement sa fiancée, mais cette perspective ne semble pas plaire à son cœur, lorsqu'elle s'en rend compte de elle se sermonne intérieur avant de lancer.

- Bonsoir Madame Darwin.
-Bons... Mais Rosalie n'a même pas le temps de répondre
- C'est pas ma femme,dit Carle d'un ton ferme.
- Oh excusez-moi.
- Mais je suis sa fiancée, dit Rosalie d'une voix mielleuse. Et vous,vous êtes la domestique?

Aideline sourit et continue malgré l'offense.

- Non madame.

Carle lance un regard meurtrier à Rosalie et celle-ci pâli puis tousse.

- Excusez-moi, dit-elle à contre coeur.