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Je me présente je suis Prince, jeune et talentueux multi-instrumentiste ivoirien (je fais de la batterie, de la percussion, du piano, de la guitare basse, les voix, de l'harmonica, de l'accordéon et un peu de saxophone) de 22 ans. Je mesure 1m83, j'ai les cheveux de couleur noir foncée, une coupe dégradée avec 2 rets superposés au côté gauche (l'un légèrement plus long que l'autre), une boucle à l'oreille gauche, et je suis de teint chocolat avec des yeux noirs. Je suis à Cocody-Angré, un quartier de la ville d'Abidjan, où je vis dans mon petit appart sur un immeuble de la place. Le première fille qui me frappa à l'œil dès mon arrivée dans le quartier ce fût ABIGAEL. Elle est magnifique (image ci-dessus), ronde avec une belle poitrine bien arrondie et le popotin bien rebondi comme il le faut, elle faisait environ 1m70. Elle est en "santé" comme on le dit en Côte d'Ivoire. Tellement impressionné par une telle beauté, j'avais du mal à établir la connexion entre nous de peur d'être rejeté car elle jouait dans un championnat plus élévé. Elle sortait avec des koutrous et recevait de forte somme d'argent de leur part. Que pouvais-je, moi un simple musicien, face à ces types? Mais Dieu me faisant grâce, j'ai eu des amis dans le quartier qui habitait le même immeuble qu'elle, à quelques pattés de chez moi. Et ici en Côte d'Ivoire, "les amis de mes amis sont mes amis". Alors par eux, j'ai commencé à causer avec Abigael et nous sommes devenus de bons amis. Mais à chaque fois que je la vois je me mets à fantasmer, à rêvasser en voyant et en imaginant ce que je pourrais faire de tous ces atouts qu'elle possède. Comment je pourrais savourer ses lèvres si pulpeuse, sucer, caresser et malaxer ses seins et ses fesses bien rebondis. Juste en quelques secondes, en la voyant, je l'avais déjà déshabillé et l'avais mougou au moins 3 fois.
Moi et mon orchestre zouglou avons été choisi pour participer à un spectacle nommée "ZOUGLOU FAMILY TOUR" au grand terrain du village d'Anono sis Cocody-Riviera 2, toujours dans la ville d'Abidjan. Nous partagions la scène avec des ténors actuels du milieu zougloutique tels que Molière, le groupe zouglou makers, les requins du zouglou, les pros du zouglou, etc... (Ces personnages sont réels, et je vous invite à les découvrir)
Quand notre tour fût arrivé, nous sommes montés sur scène et avons donné tout ce qu'on avait. Nous voulions prouver à nos devanciers que nous sommes peut être très jeune mais, nous avons quelque chose à offrir à la musique ivoirienne. But qui fût atteint, car la foule était en délire après notre passage. Il en redemandait encore en criant: BISSEZ, BISSEZ, BISSEZ...
Nous avons eu donc l'autorisation de faire un dernier morceau avant de descendre de la scène afin de ne pas la monopoliser. Je descendais de scène guitare au dos et la tête dans mon téléphone car la foule criait vraiment de joie, nous acclamait et je me sentais un peu gêné. En franchissant la dernière marche de l'escalier du podium, je sentis quelqu'un foncer vers moi en courant. J'ai à peine eu le temps de lever la tête que la personne se jeta dans mes bras et me serra dans ses bras, j'ai failli tomber. J'ai su immédiatement que c'était une fille en sentant la douceur de deux choses voluptueuses sur mon buste.

- Waoh Prince, je ne savais pas que tu étais aussi bon musicien !

- Hey, Abi! (diminutif d'Abigael) Tu fais quoi ici ?

- Quel question ! Je suis venu m'amuser avec quelques amis et j'suis tombé sur ton groupe et toi entrain de jouer. On m'avait dit que tu étais un excellent musicien mais là, faut que j'avoue que tu m'as épatée.

- Tu sais on ne fait que se débrouiller, merci pour l'encouragement. Lui dis je avec un joli sourire.

Nous sommes toujours côte à côte, bras autour de la hanche de l'un l'autre et papotant. J'essaie de me retirer de cet étreinte voilée, mais elle résiste en me faisant un petit sourire et se rapproche encore plus de moi. Je sents à nouveau son sein contre moi, elle n'a apparemment pas portée de soutien gorge.

- Yo papi, nous allons nous asseoir hein. Quand t'auras fini de lover, tu sais où nous trouver. Me dit la coccinelle, le batteur de mon groupe.

- Bon je dois y aller. Dis je à Abi

- Huumm... Donc tu ne m'invites pas à rester avec toi quoi? Elle me répondit

- Je croyais que tu étais venus avec tes amis!

- Oui mais je suis toujours avec eux, aujourd'hui ils peuvent bien rester sans moi. Faut les laisser, aujourd'hui c'est toi et moi. On est collé chimenté, ton pied mon pied.

- Ok! Comme tu insistes!

Nous nous mettons à rire et ensuite elle m'entraîne vers ses ami(e)s. Je suis un peu rétissant mais elle insiste et elle a les bons arguments puisque dans la résistance elle se laisse entrainer vers moi, imaginez la suite. Abigael est joueuse, provocatrice, et qui prend les devants. Or moi, je suis timide et un peu réservé, j'aime passer inaperçu. Ne dit on pas que les contraires s'attirent? Malgré tout, je trouve la force de refuser.

- J'suis avec les autres, je ne peux pas les laisser comme ça. Lui dis je

- Ok, pas de problème! C'est que je vais prendre mon sac et vous rejoindre.

- Ok, c'est top.

Elle part vers ses amis et moi je vais vers les miens. Dès que je les rejoinds, j'suis harcelé de question. Je me débarasse d'eux en leur disant que c'était une amie. Quant à Abigael, quand elle arrive chez ses ami(e)s:

- Coucou les ami(e)s. Dit elle en prenant son sac à main

- Eh toi là tu vas où et puis tu prends ton sac à main là? Huuummm toi la petite fille là tu aimes garçon! Lui dit une de ses amies.

- Oorrh... Calme toi ma petite, tous les jours je suis avec vous ici vous n'êtes pas fatigué? Aujourd'hui là je reste avec ma star. On a beaucoup de chose à se dire! Qui sait, peut être que j'aurai un cours gratuit, intense et profond de guitare ce soir. Elle lui répondit en lui faisant un clin d'oeil.

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Être en santé: Avoir une belle forme, avoir des formes généreuses.

koutrous: Boss, personnes friqués

Mougou: Faire l'amour en hardcore

Zouglou: Musique ivoirienne

Lover: S'amouracher

Big up à goddness-of-wisdom, tu vois j'ai suivi ton conseil!
L'aventure continue les ami(e)s, restez connectés...

Les Péripéties de Prince Le MusicosOù les histoires vivent. Découvrez maintenant