YASSINE

Tu te souviens de la dernière fois, où j'ai essayé ton manteau.
Tu sais celui que tu aimes tant porter, le long bleu Marine.
En réalité, c'était juste pour me sentir un peu plus proche de toi...

Yassine,

Tu m'as attrapé avec tes yeux.
Maintenant mon coeur est prêt à brûler.
Car je crois être prête à t'aimer.

Yassine,

Je t'ai dans la peau, mais j'ai si peur des mots. Si tu savais comme je me bats pour me de bâillonner.

Donc si tu penses que tout a été dit, tu es dans le faux. Car ce que je souhaite plus que tout c'est , que tu saches que je suis tienne. Je veux être ton tout et plus.

Yassine,

Toi qui m'est si près du coeur, je te sens si loin de moi.

Yassine,

Approche.
Approche toi, que je te serre dans mes bras.
Accroche toi, à moi, je saurais te soutenir. Je m'ouvrirais à toi, et juste qu'à toi. Laisse moi, faire de toi ma destinée. Mien.

Yassine,

J'ai peur de passer à côté de quelque chose, qui me dépasse, de si fort, si beau, si « Nous », que je mourrais de regret.

Yassine,

Depuis le début, y a ce « truc », que je n'arrive pas à m'expliquer. Parce que ça ne porte pas de nom. Je suis certaine, que tu l'as senti. On ne peut pas être ce qu'on est, et ne rien envisager. On reflète nos lumières respective, puis par miracle on scintille plus. Comme une étoile dans le ciel obscure, on est beau. On est vraiment beau. Je pourrais nous regarder avancer tous les deux, le temps d'une vie.

Yassine,

Je ne sais plus quoi penser. Il est 4h57, je suis épuisée. Mais tu es là, gambadant dans mon esprit, puis dans une grosse partie de mon cœur aussi.
Étourdie, et légèrement maladroite, je me sers de ce flot de sentiment, pour y puiser l'encre de ce recueil.

Yassine,

Tu m'as véritablement marqué.

Yassine ...

J'ai trop de pensées roses d'amour, et trop peu d'espace et de mots pour te les décrire.

Yassine ...

Yassine ...

Yassine ...