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Elio a passé quasiment deux jours complets à déprimer avant que je ne réussisse enfin à le contaminer avec ma bonne humeur permanente. Son abrutie de mère refusait notre amour parce que « point, c'est comme ça » ? Grand bien lui fasse, nous n'allions pas nous soumettre à ses règles injustes. Non, ce qu'il fallait, c'était lui montrer qu'elle avait tord, justement ! Quand enfin un bref éclat de rire sortit d'entre ses lèvres , je ne pus m'empêcher de les lui embrasser joyeusement, puis de prendre leur propriétaire dans mes bras. Ô joie suprême, quand tu nous tiens, il est si dur de répondre pleinement de ses actes ! J'ai tourné la tête lentement en sentant un regard sur moi. Lila. Même si elle faisait une grosse fixation sur mes cheveux, elle était gentille, et je l'aimais bien. Je lui ai fait un grand sourire, comme j'en avais l'habitude, mais en voyant ses yeux presque débordants de mépris et de dégoût, celui-ci s'est fané. Non... Elle aussi, alors ? Mais pourquoi ? Qu'avions-nous fait de mal, pour être les seuls à soutenir notre couple ?

LA NOUVELLE A CHUTEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant